Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Presse Héba. Rabais
Le secteur de l’enseignement public au Maroc est témoin d’un phénomène croissant d’absences d’enseignants, souvent justifiées par la fourniture de certificats médicaux. Ce phénomène a suscité le mécontentement des mères et des pères, qui expriment leur inquiétude quant à son impact négatif sur la qualité de l’éducation et la continuité des cours.
De nombreux parents confirment que l’absence d’enseignants affecte négativement le niveau des élèves, car elle provoque un retard dans les programmes scolaires, ce qui met les élèves sous une pression supplémentaire pour rattraper les cours manquants. Le problème est plus grave dans les zones reculées, où il est difficile de compenser les absences dues au manque de ressources humaines.
Si certains reconnaissent le droit des professeurs à bénéficier d’arrêts de maladie lorsque cela est nécessaire, d’autres remettent en question la crédibilité de certaines preuves médicales, estimant qu’elles sont devenues un moyen d’éviter le travail sans réelle justification. . Ils estiment qu’un contrôle strict de ces preuves est nécessaire pour limiter leur exploitation illégale.
Les parents appellent les autorités concernées à trouver des solutions radicales à ce phénomène, que ce soit en renforçant l’encadrement ou en embauchant davantage d’enseignants pour combler la pénurie. Certains appellent également à une révision des lois sur les congés de maladie afin de garantir un équilibre entre les droits des enseignants et le progrès dans le processus éducatif.
De leur côté, certains enseignants justifient leurs absences par la détérioration des conditions de travail, comme des salles de classe surpeuplées et un équipement médiocre, qui affectent leur santé psychologique et physique. Les syndicats professionnels réclament une amélioration des conditions de travail comme élément de solution à ce problème.
Entre les revendications des parents et les droits des enseignants, le principal défi reste de garantir le droit des élèves à une éducation stable et de qualité. Cela nécessite un effort conjoint entre les différentes parties prenantes, notamment le ministère de tutelle, les syndicats et les associations civiles, pour développer des solutions efficaces et durables.