Trois autres professeurs se joignent à la direction de ce programme : Guillermo Candiz, du Centre d’études et de recherche sur la pluralité humaine de l’UOF et responsable de la région Amérique du Nord ; Delphine Prunier, de l’Université nationale du Mexique, responsable de la région Amérique latine ; et Ferdinand Muhigirwa, recteur de l’Université Loyola du Congo, responsable de la région Afrique centrale.
« Cette chaire UNESCO permet de repenser ces mouvements migratoires dans une perspective plus globale, car ils sont globaux », explique Paulin Mulatris.
« Notre objectif est de comprendre l’impact de ces migrations, aussi bien dans une relation Nord-Sud que Sud-Sud, en menant des recherches, à l’aide de la cartographie par exemple. »
Si cette collaboration interuniversitaire a été conçue, c’est avant tout pour discuter des différentes politiques migratoires mises en place, « afin de les comparer et voir si elles peuvent être appliquées dans d’autres territoires ».
Recherche universitaire et politiques publiques
Cette nouvelle chaire UNESCO explore les phénomènes migratoires sous six angles différents, notamment les questions de « l’inclusion communautaire, de l’éducation interculturelle et même de la sécurité et des droits ».
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