Le député Yasir Naqvi s’est excusé d’avoir envoyé une carte incorrecte du Canada

Le député Yasir Naqvi s’est excusé d’avoir envoyé une carte incorrecte du Canada
Le député Yasir Naqvi s’est excusé d’avoir envoyé une carte incorrecte du Canada

MONTRÉAL — À l’occasion de la fête du Canada, le député libéral d’Ottawa-Centre, Yasir Naqvi, a envoyé une carte du Canada aux résidents de sa circonscription à des fins éducatives. Malheureusement, celui-ci contient plusieurs erreurs importantes.

M. Naqvi s’est excusé dimanche sur le réseau social X, admettant que ce coloriage était incomplet.

« La fête du Canada approche ! Pour marquer ce moment, nous vous avons envoyé un drapeau canadien à arborer avec fierté, a-t-il écrit. Cependant, nous avons commis une erreur. L’Île-du-Prince-Édouard et le Yukon sont absents de la carte.

Il a toutefois réitéré que le but de la carte imprimée au dos du drapeau était d’éduquer les enfants sur la géographie du pays et de leur donner envie d’en apprendre davantage sur les différents territoires et provinces qui le composent.

Cette erreur n’a pas manqué de provoquer des réactions. Sur X, plusieurs internautes se sont amusés de voir que la carte choisie pour le pamphlet avait été approuvée par les équipes de M. Naqvi.

Mais certains ont également souligné une autre inexactitude.

“Joyeux jour du Canada! Et que l’Île-du-Prince-Édouard ne disparaisse pas sous les vagues de si tôt. Cela dit, le Québec devrait se réveiller et prendre conscience qu’il est une province maritime », a commenté l’un d’eux.

Sur la carte en question, le Québec, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse sont en effet dessinés comme formant une seule grande province.

Les « bulletins parlementaires » comme celui-ci sont payés par la Chambre des communes et distribués gratuitement par Postes Canada aux résidents de la circonscription de chaque député.

La Presse Canadienne

#Canada

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Pourquoi y a-t-il une crypte sous la place Garibaldi ? – .
NEXT jour 1 » de Michael Sarnoski, un ange passe – Libération