Contrôle massif à la sortie de la gare Saint-Charles, la police a fait mouche

Contrôle massif à la sortie de la gare Saint-Charles, la police a fait mouche
Contrôle massif à la sortie de la gare Saint-Charles, la police a fait mouche

Par

Jérémie Attali

Publié le

16 novembre 2024 à 8h04

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Ce mardi 5 novembre à la gare Saint-Charles de Marseille, la police a procédé à une « Un contrôle généralisé » chauffeurs de taxis et VTC.

Plusieurs infractions ont été constatées, notammentconsommation de stupéfiantsa annoncé le préfet ce vendredi.

Taxis et VTC contrôlés à Marseille

C’est « à la demande de l’autorité préfectorale » que cette opération de contrôle des taxis et
Des VTC, pilotés par la direction départementale de la protection des populations des Bouches du-Rhône (DDPP), ont été réalisés sur l’esplanade du Bourdet.

Au total, 11 taxis et 12 VTC ont été contrôlés et une quinzaine d’infractions et manquements ont été relevés.

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Usage de stupéfiants, manque d’assurance, de contrôle technique, etc.

Parmi les infractions constatées, « certaines portent directement atteinte à la sécurité des clients et des conducteurs (conduite d’un véhicule ayant consommation de stupéfiantsmanque d’assurance, défaut du contrôle techniquemanque d’attestation préfectorale, d’aptitude physique, etc.) », explique la préfecture.

D’autres concernent « les conditions d’exercice de la profession de VTC (flagrance de maraude électronique, non-apposition de vignette d’identification ou de carte professionnelle) faussant ainsi une saine concurrence entre opérateurs ».

Du côté des taxis, « des irrégularités ont été constatées au niveau des réparer le taximètre et l’absence de scellés obligatoires, ce qui rend matériel de mesure non conformeun manque de vérification périodique des équipements spécialisés, des adresses de réclamation incorrectes sur les notes imprimées remises au consommateur, constituant un obstacle à la saisine des services de contrôle par le consommateur.

Des contrôles qui vont se reproduire

La question de terminal de paiement électronique visible et en état de marche a été « au cœur des discussions » avec les chauffeurs, « puisqu’ils ont l’obligation d’accepter ce type de paiement quel que soit le montant du trajet ».

La préfecture compte renouveler à l’avenir des contrôles de ce type.

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