Cherbourg. Quel avenir pour cette entreprise, véritable institution de la pêche artisanale ? – .

Cherbourg. Quel avenir pour cette entreprise, véritable institution de la pêche artisanale ? – .
Cherbourg. Quel avenir pour cette entreprise, véritable institution de la pêche artisanale ? – .

Par

Sébastien Lucot

Publié le

17 juin 2024 à 6h54

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Sur le quais portuaires de Cherbourg (Manche), depuis plusieurs mois la rumeur court que l’Armement Cherbourg pourrait être vendu à l’étranger.

Mais de quoi s’agit-il réellement ? l’avenir de cela entreprise reconnue dans le CotentinOMS emploie 50 personnesdont 35 marins et des fournitures Poissons 70% de l’enchère cherbourgeois ?

J’ai séjourné en France

« Nous avons beaucoup entendu dire que bateaux allaient partir à l’étranger, ce qui est faux, l’armement n’est pas vendu”, explique Sophie Leroy, qui a créé la SAS Armement Cherbourgeois en 1999 avec son mariDavid.

LE les propriétairesattaché à savoir-faire en matière de pêche Artisanal françaisvouloir à tout prix éviter ce scénario et que l’armement reste en France.

Un appel aux communautés

Ils souhaitent cependant préparer la succession de cette institution cherbourgeoise depuis l’époque de retraite ça sonnera un peu plus deux ans pour David Leroy. Pour les époux, ce futur transfert devra être « pensé localement ».

Le « Maranatha II » en rénovation aux Pays-Bas

Fin mai, le Maranatha II, l’un des quatre navires hauturiers de l’Armement de Cherbourg, se trouvait aux Pays-Bas. De quoi alimenter la rumeur… Ce voyage aux Pays-Bas était le résultat d’une grosse révision que dut subir le navire composé de 6 marins, construit en 1998. « Nous n’avons rien trouvé de plus proche », assure Sophie Leroy. Equipé d’un moteur bien spécifique, de la marque ABC, marque spécialisée dans les moteurs diesel pour la propulsion marine, le Maranatha II et son équipage devaient mettre le cap sur le chantier naval Padmos, à Stellendam dans le sud du pays. » C’était un entretien important, obligatoire. ”

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Sophie Leroy, 48 ans, confie aussi qu’elle ne veut pas « travailler et pénaliser » [sa] la vie de famille jusqu’à [ses] 70 ans » pour sauvegarder l’armement et la pêche artisanale à Cherbourg.

Il « alerte » donc le communautés locales prendre le mesures nécessaires :

Les lourdeurs et lenteurs administratives doivent également être prises en compte pour un héritage. Un travail de réflexion doit être mené en amont, dès aujourd’hui.

Sophie Leroy

Par ailleurs, une vente à l’étranger signifierait également un départ quotas industrie de la pêche en France.

« Nous allons vendre l’entreprise, c’est sûr. Mais nous voulons le faire localement. LE Stratégiesface à leurs responsabilités. »

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