Les demandes d’aide pour trouver un logement ont presque doublé en un an au Québec

À l’approche du 1er juillet, de plus en plus de locataires à faible revenu ont du mal à trouver un logement abordable. Au Québec, les besoins ont bondi de près de 100 % sur un an pour atteindre 8 162 demandes d’aide en 2024, ce qui crée une pression croissante sur les organismes de lutte contre l’itinérance, qui se disent débordés.

Le temps presse pour David Gosselin. Après trois mois de recherche, il ne trouve toujours pas de nouvel appartement. De plus, lors de sa recherche d’un nouveau logement, il avoue se sentir abandonné par le système.

Le Montréalais David Gosselin est à la recherche d’un logement abordable depuis environ trois mois.

Photo : Radio-Canada

oeuvres d’Astérix ! Autant que211 que le311 et que le Bureau d’habitation de Montréal m’a référé à l’Accueil Bonneau pour passer des nuits au refuge, mais pendant ces nuits, je n’ai pas accès à mon chien”, “texte” : “Je me croirais dans les 12 oeuvres d’Astérix ! Le211 et le311 ainsi que le Bureau d’habitation de Montréal m’ont référé à l’Accueil Bonneau pour passer des nuits au refuge, mais pendant ces nuits, je n’ai pas accès à mon chien”} }”>Je me croirais dans les 12 travaux d’Astérix ! Le 211, le 311 et le Bureau d’habitation de Montréal m’ont référé à l’Accueil Bonneau pour passer des nuits au refuge, mais pendant ces nuits, je n’ai pas accès à mon chien.dit l’homme de 47 ans.

C’est humiliant. Nous sommes comme des déchets dans la rue que nous voulons juste ranger pour ne pas les voir. Je me rends compte que la vie devient terriblement chère et inabordable pour les personnes à faible revenu.

Une citation de David Gosselin, un locataire à la recherche d’un logement

Avec un revenu d’aide sociale de 968 $ par mois et un loyer mensuel de 900 $, cet ancien technicien en informatique a besoin d’aide pour trouver la perle rare sur le marché locatif. Il n’est pas le seul.

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Les demandes d’aide à la recherche d’un logement ont presque doublé en un an au Québec.

Photo : Radio-Canada

Selon l’Office municipal d’habitation de Montréal et la Société d’habitation du Québec, les demandes d’aide à la recherche de logement ont bondi de près de 100 % à Montréal et partout dans la province de 2023 à 2024.

Au Québec, 1 460 ménages locataires en recherche de logement qui risquent de se retrouver sans bail au 1er juillet sont activement accompagnés par un service d’aide au relogement. De ce nombre, 224 ménages sont situés à Montréal.

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Les demandes d’aide pour trouver un logement ont presque doublé en un an à Montréal.

Photo : Radio-Canada

Le taux d’inoccupation des logements dans plusieurs villes de la province a également atteint des planchers sans précédent (Grand Montréal, 1,5 %; Québec, 0,9 %; Trois-Rivières, 0,4 %).

La crise du logement exerce également une pression énorme sur les ressources destinées aux personnes en situation d’itinérance, comme la Mission Ancienne Brasserie à Montréal, ce qui confirme qu’il est très demandé en ce moment.

James Hugues est dehors et donne une interview à un journaliste.

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James Hughes, président et chef de la direction de la Mission Old Brewery

Photo : Radio-Canada

Juillet. Beaucoup de gens savent depuis plusieurs mois que cela pourrait poser problème. [de trouver un logement], mais ils n’appuient pas sur le bouton de panique », « texte » : « Cela commence à devenir de plus en plus intense à mesure que nous nous rapprochons du 1er juillet. Beaucoup de gens savent depuis plusieurs mois que cela pourrait poser problème. [de trouver un logement]mais ils n’appuient pas sur le bouton de panique”}}”>Cela commence à devenir de plus en plus intense à mesure que l’on se rapproche du 1er juillet. Beaucoup de gens savent depuis plusieurs mois que cela pourrait poser problème. [de trouver un logement]mais ils n’appuient pas sur le bouton de paniquenote James Hugues, président-directeur général de la Mission Ancienne Brasserie.

Nous avons au moins 5 000 personnes ce soir. Et elle va s’accentuer dans les années à venir si l’on n’intervient pas en amont auprès des personnes menacées d’expulsion.

Une citation de James Hughes, président et chef de la direction de la Mission Ancienne Brasserie

% de personnes, on finit par leur trouver un logement. Souvent, c’est après le 1erJuillet, quand les gens sont placés dans des hôtels, et c’est là qu’on trouve des options, parce que c’est là que le pool de 100Le % de personnes qui n’ont pas trouvé d’appartement peuvent être identifiés.”,”texte”:”Pour 75% des personnes, on finit par leur trouver un logement. Souvent, c’est après le 1er juillet que les gens sont placés dans des hôtels, et c’est là que nous trouvons des options, car c’est là que l’on peut identifier le pool de 100% de personnes qui n’ont pas trouvé d’appartement.Pour 75% des gens, on finit par leur trouver un logement. Souvent, c’est après le 1er juillet que les gens sont placés dans des hôtels, et c’est là qu’on trouve des options, parce que c’est là que l’on peut identifier le bassin de 100 % de personnes qui n’ont pas trouvé d’appartement.

Toutefois, pour David Gosselin, il existe très peu d’options pour le moment. Dans tous les cas, ce locataire devra déménager avant la date fatidique du 1er juillet… logement ou pas.

Avec les informations de Gabrielle Proulx

 
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