L’ambassadeur Thomas Greminger : « Après le Bürgenstock, il faudra peut-être créer un groupe de contact plus confidentiel »

L’ambassadeur Thomas Greminger : « Après le Bürgenstock, il faudra peut-être créer un groupe de contact plus confidentiel »
L’ambassadeur Thomas Greminger : « Après le Bürgenstock, il faudra peut-être créer un groupe de contact plus confidentiel »

Publié le 15 juin 2024 à 13h20 / Modifié le 15 juin 2024 à 13h21

Ancien secrétaire général de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe et actuel directeur général du Centre pour la politique de sécurité de Genève (GCSP), Thomas Greminger connaît très bien les questions touchant au conflit entre la Russie et l’Ukraine. S’il n’est pas présent sur les hauteurs du Bürgenstock pour le Sommet pour la paix en Ukraine, qui se tient ce samedi et dimanche dans la station de Nidwald, il a son avis sur ce grand rendez-vous qui rassemble une cinquantaine de dirigeants d’Etat et environ quatre-vingt-dix des pays.

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