Budget, Mercosur : le Premier ministre a défendu les positions de son gouvernement devant les responsables de la Commission.
Devant les institutions européennes à Bruxelles, les agriculteurs belges ont donné du poids aux arguments de Michel Barnier. Comme leurs homologues français qui préparent leur mobilisation, ils ont manifesté leur opposition au projet d’accord de libre-échange de l’Union européenne avec les pays du Mercosur (Argentine, Bolivie, Brésil, Paraguay, Uruguay). Le Premier ministre français, de retour au siège de la Commission – où il a été commissaire puis négociateur du Brexit pendant près de quinze ans – entendait faire passer le même message d’hostilité résolue de la France à ce texte.
Avec 622 signatures de parlementaires et le rare soutien de la quasi-totalité des partis politiques français, Michel Barnier a répété devant Ursula von der Leyen, présidente de la Commission, puis Valdis Dombrovskis, vice-président chargé notamment du Commerce, le refus de ce projet par France. « Je pense que la Commission a compris que, dans les circonstances actuelles…
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