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plages en danger

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Dans son dernier rapport sur les « Mécanismes de délivrance des permis et de contrôle de l’exploitation des ressources naturelles (ressources en eau et carrières) » incluant le site Al3omk En possession d’un exemplaire, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) tire la sonnette d’alarme sur l’extraction illégale de sable côtier. L’institution affirme que la moitié du sable utilisé au Maroc, soit l’équivalent de 10 millions de mètres cubes par an, provient de l’extraction illégale de sable côtier. En conséquence, une large bande côtière entre Safi et Essaouira s’est transformée en une zone rocheuse dénudée. L’exploitation excessive de certains types de carrières produit des impacts tangibles à court, moyen et long terme, parmi lesquels la « destruction et dégradation des écosystèmes et des habitats, des modifications des paysages, des dommages aux infrastructures routières, etc. », précise le rapport.

Lire : Au Maroc, la mafia du sable dévore les plages

Ces activités illégales peuvent également nuire aux territoires et à la santé publique à travers la pollution et le bruit, affecter la fertilité des terres voisines des carrières et les moyens de subsistance des populations locales vivant à proximité des carrières, comme l’abandon de certaines activités génératrices de revenus comme l’agriculture ou le tourisme, et porter atteinte à l’alimentation. et la sécurité de l’eau. Certains habitants ont dû s’installer dans d’autres régions. Autres conséquences : la baisse des valeurs foncières, et l’attractivité des territoires.

À lire : Carrières illégales de sable au Maroc : de hauts responsables pointés du doigt

Le Conseil d’Ahmed Réda Chami pointe également la négligence de certains exploitants d’anciennes carrières. Ils quittent ces sites après leur exploitation sans effectuer les travaux de réhabilitation nécessaires, ou bien ils les réalisent d’une manière non conforme aux normes établies. En conséquence, on observe une défiguration des paysages, et ces sites deviennent des foyers de danger ou des sources de pollution, notamment lorsqu’ils sont utilisés comme décharges illégales, ce qui affecte négativement les écosystèmes et les eaux souterraines, souligne le rapport du CESE. .

 
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