C’est en signe de reconnaissance de ces morts pour la France, et non comme une « ode à la guerre », comme l’a souligné Frédéric Gonthier, le président de l’Association départementale des anciens combattants d’Indochine, qu’une cérémonie a lieu. s’est tenue ce samedi 8 juin.
Moment solennel au pied du monument (au centre, Frédéric Gonthier).
Stéphanie-Claude
2024 marque les 70 ans de la fin de la guerre d’Indochine et de la « tragédie de Diên Bien Phu » qui a coûté la vie à 3 000 Français, dont 14 Périgourdins. Sur les 10 000 faits prisonniers, seuls 3 000 ont survécu, a rappelé le délégué militaire départemental, le lieutenant-colonel François Roche, dans des conditions effroyables. Il retrace le parcours de René Le Gall, militaire de Chantérac, capturé dans la nuit du 14 au 15 mars 1954 et décédé le 26 août. Son corps ne fut jamais restitué à sa famille.
Un diplôme du SNU
Aux côtés de la vingtaine de porte-étendards, une poignée d’adolescents. Les élèves de la classe de défense du collège Clos-Chassaing ont solennellement participé à ce moment, des lectures jusqu’au dépôt de gerbes en compagnie de Frédéric Gonthier, du directeur de cabinet du préfet Marin Lassalle et du représentant de la Ville de Périgueux, Michel Lemaire, conseiller délégué à la mémoire mémorielle.
La remise des diplômes du Service National Universel à William Le Duic, Joshua Chamlong et Angelina Collery, qui ont travaillé avec le comité Souvenir Français de Périgueux.
Stéphanie-Claude
Des élèves de la classe de Défense du collège Clos-Chassaing de Périgueux avec des jeunes du Service National Universel.
Stéphanie-Claude
