Cérémonie protocolaire à l’Arc de Triomphe, descente des Champs-Elysées avec la Garde républicaine, défilé aérien et dîner de gala : Joe Biden est accueilli en grande pompe par Emmanuel Macron pour sa première visite d’État en France. Les deux présidents entendent montrer l’harmonie de leur relation et ils aborderont plusieurs sujets brûlants, qu’il s’agisse de la situation dans la bande de Gaza, de la guerre en Ukraine ou de l’avenir de l’Otan.
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Alors que le vote pour les élections européennes débute samedi dans les départements et régions d’outre-mer, le vote se déroule sous très haute sécurité en Nouvelle-Calédonie, secoué depuis près d’un mois par des émeutes suite à la réforme du corps électoral. Un homme, un Kanak de 26 ans, blessé par balle lundi par des gendarmes au col de la Pirogue, point chaud sur la route menant de Nouméa à l’aéroport international, a succombé à ses blessures vendredi, portant le nombre de morts. à huit depuis le début des troubles. Le couvre-feu a été prolongé d’une semaine, jusqu’au 17 juin. Le président du gouvernement de Nouvelle-Calédonie, Louis Mapou, appelle à écrire “une nouvelle page” de l’histoire de l’archipel.
La chasse aux rides et aux signes de l’âge commence de plus en plus tôt. C’est le constat dressé par les dermatologues et médecins esthétiques, réunis lors de leur conférence annuelle hier à Paris. Mais il n’y a que des rides, il y a aussi des pommettes rehaussées et des lèvres repulpées qui attirent les femmes de plus en plus jeunes. Un engouement lié en grande partie aux réseaux sociaux et au rôle des influenceurs qui n’ont plus le droit de promouvoir la médecine esthétique depuis l’année dernière.
Valoriser l’histoire de personnes oubliées ou délaissées, expérimenter d’autres discours de transmission historique, telle est l’ambition du Festival d’histoire populaire, dont la première édition s’est déroulée à Créteil dans le Val de Marne jusqu’à samedi soir. Mathilde Rossigneux-Méheust maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université Lumière Lyon 2 et spécialiste de l’histoire de la vieillesse et des classes populaires en France aux XIXe et XXe siècles est l’invité du JT de 12h30.
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« L’histoire n’est pas le monopole des historiens » explique Mathilde Rossigneux-Méheust.
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