Pour rien au monde Anthony Moris n’aurait raté ses retrouvailles avec les Diables. Car il affrontera certains de ses amis comme Thomas Meunier. Mais aussi parce qu’il se sent redevable envers le Luxembourg, un pays qui l’a soutenu contre vents et marées depuis dix ans.
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Publié le 06/07/2024 à 11h25
Temps de lecture : 9 minutes
CONTREC’est à deux pas de chez lui, dans un établissement d’Awans, qu’Anthony Moris nous a donné rendez-vous il y a quelques jours pour évoquer son histoire d’amour avec le Luxembourg, une nation dont il défend depuis longtemps les couleurs. décennie. Comme par hasard, c’est contre les Diables Rouges, le 26 mai 2014, qu’il dispute son tout premier match avec le « Roud Léiwen », prenant de facto ses distances avec l’équipe nationale belge dont il avait porté les couleurs parmi les les jeunes.
Anthony Moris, rappelez-nous : comment en êtes-vous arrivé à défendre les cages luxembourgeoises ? Cependant, vous êtes né et avez toujours vécu en Belgique.
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