Dominique Santoni et Georgia Lambertin unies pour l’agriculture du Luberon

Dominique Santoni et Georgia Lambertin unies pour l’agriculture du Luberon
Dominique Santoni et Georgia Lambertin unies pour l’agriculture du Luberon

Le Parc Naturel Régional du Luberon et la Chambre d’Agriculture du Vaucluse ont signé une convention de partenariat en vue de soutenir l’agriculture localeà l’occasion du salon Med’Agri. Ainsi, la présidente de la Chambre d’Agriculture du Vaucluse Georgia Lambertin et la présidente du Parc Naturel Régional du Luberon (PNR) Dominique Santoni s’engagent au service des agriculteurs et entendent à travers cet accord travailler ensemble en faveur des activités agricolespastoral et forestier du parc.

Selon la charte PNR Luberon, la Chambre apportera son soutien à la structuration des filières, à l’installation et au transport, en accompagnant les exploitations agricoles et les filières dans leur adaptation au changement climatique. Cette entente comprend également la préservation des territoires agricoles, la promotion des produits agricoles et des circuits courts, le réseau Bienvenue à la ferme et la marque Valeurs Parc.

L’agriculture, clé de voûte de l’économie locale

Pour le président du Parc Naturel Régional du Luberon Dominique Santoni : « Parce que nos deux structures ont à cœur d’être au service des agriculteurs, elles visent, à travers cet accord, à agir et travailler ensemble aux activités agricoles, pastorales et forestières, clés de voûte de l’économie locale et du projet du Parc du Parc. Le Luberon, pour une agriculture durable, rémunératrice, respectueuse des femmes et des hommes du territoire, et de l’environnement.

Cette collaboration entre le PNR du Luberon, la Chambre d’Agriculture du Vaucluse et celle des Alpes de Haute-Provence est effective depuis longtemps à travers des projets développés et mis en œuvre au profit des agriculteurs locaux. De la même manière que pour les projets agro-environnementaux et climatiques (PAEC) qui permettent aux agriculteurs de bénéficier d’une compensation financière lorsqu’ils modifient leur modèle d’irrigation afin d’économiser les ressources en eau et de s’adapter au changement climatique.

 
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