Le choix de la personnification du Mandat ne peut être accidentel. Grâce à cette figure de style, nous voudrions marquer la particularité de la confiance que le peuple souverain a placée en Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, le 24 mars 2024. Ce contrat de confiance est assimilé à une mission au service. de bien, de justice, de paix, d’inclusion sociale et de développement intégral.
L’heure n’est pas au bilan, loin de là. C’est juste un moment de partage sur les traits humains que l’on voudrait attribuer au Mandat du Chef de l’Etat. Il convient évidemment de souligner qu’en seulement deux mois, le quinquennat est sur ses deux jambes et, de surcroît, sans l’aide de béquilles. Vous comprendrez facilement que, à travers ce processus littéraire, on établit un rapport allégorique avec la réalité et non avec la fiction.
Aucun citoyen raisonnable ne peut croire les divagations d’un groupe de faucons qui n’ont pas hésité, un seul instant, à torpiller et discréditer le processus électoral pour tenter de satisfaire leur boulimie et leur insatiabilité. Depuis plusieurs semaines, des nostalgiques ou désemparés, tombés dans les bras de Morphée, soufflent de la fumée en comparant le « PROJET » de la rupture au téléfilm « Mandat bi » du très célèbre réalisateur Ousmane SEMBENE, sorti justement le 27 novembre 1968. Soyons fidèles à l’histoire et rétablissons les faits sans aucune trahison ni abjuration volontaire.
Le « Mandat » de l’auteur du roman « Les Bouts de bois de Dieu » suit une courbe descendante tandis que celui du Président FAYE se distingue par une dynamique ascendante. Ousmane SEMBENE évoquait, il y a une cinquantaine d’années, le cas d’un peuple privé de son dû, au contraire aujourd’hui, il s’agit d’un peuple ayant librement décidé de conférer son Mandat à un homme de confiance. N’essayons donc pas de tromper les électeurs par une campagne de falsification et de manipulation. Ceux qui se font aujourd’hui passer pour des experts en tout ou des politologues avertis sont les mêmes que les Sénégalais avaient sanctionnés, il y a peu, pour leur manque de résultats, d’humanité et d’empathie. Voilà des chômeurs politiques qui prétendent guider l’action publique. C’est le monde à l’envers.
D’un autre côté, personne ne peut lui retirer son statut d’opposition ; ils ont le droit d’être en désaccord avec le gouvernement, c’est normal. Quoi qu’il en soit, personne ne peut s’attribuer le droit de déformer les faits. Le « Mandat Diomaye » est en cours. Bien qu’ils aient essayé de mettre des obstacles, rien n’a fonctionné, le « PROJET » se déroulait à un rythme normal. Aucune anomalie n’est détectée par les praticiens contrairement aux défaitistes qui se contentent de prédire un massacre. Ils croient pouvoir tisser un fil sans s’inquiéter. Non!
Toutes les planètes restent alignées au Sénégal. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer la capacité du chef de l’Etat, seul représentant du peuple, à transcender les limites fixées par le régime précédent et son contrôle sur la conduite des affaires de la Ville. Dans des conditions plus que préoccupantes, à tous les niveaux, le Président de la République a su faire preuve d’habileté et de dextérité pour prendre des initiatives rassurantes et prometteuses.
A titre d’exemples, concentrons-nous un instant sur la bonne nouvelle adressée au monde rural avec la baisse de 22% des prix des engrais, dont la répartition se fait désormais dans la transparence et l’équité grâce à la concurrence de l’Armée Nationale. C’est une première au Sénégal. Cela devrait être salué et encouragé. Quand ça va bien, il faut le dire sans détour et quand ça ne va pas, il faut le dénoncer avec fermeté. C’est la vérité, cependant, nous ne serons jamais des oiseaux de mauvais augure.
Revenant sur les signes avant-coureurs d’un avenir meilleur, il faut rappeler les mesures majeures prises dans plusieurs autres secteurs comme l’enseignement supérieur avec la stabilisation du calendrier académique ainsi que la Justice aux Assises dont l’objectif est de trouver ensemble des solutions lucides sur les dysfonctionnements. du système judiciaire. Nous avons dit que l’heure n’était pas au bilan, nous nous limiterons donc à quelques aspects dont l’épineuse question de la baisse des prix des produits de première nécessité.
A ce sujet, les honnêtes gens s’accordent à saluer les instructions claires et précises données par le chef de l’Etat en Conseil des ministres. Sur cette lancée, il faut saluer les concertations initiées par le Premier Ministre, Monsieur Ousmane SONKO, avec les différents représentants des producteurs, commerçants, transporteurs ainsi que les associations de consommateurs. À cet égard, nous attendons avec impatience l’efficacité de la réduction du coût de la vie, cela ne fait aucun doute. En plus, c’est une parole donnée, il faut la respecter. N’a-t-on pas dit que la promesse est une dette ? En revanche, on s’abstiendra évidemment de demander la lune.
C’est un secret de Polichinelle, entre les nouvelles et les anciennes Autorités, le relais ne semble pas avoir été passé selon les règles de l’art. On dirait même qu’il n’y a probablement pas eu de relais. Cela signifie que le Président Bassirou Diomaye FAYE a hérité d’un lourd fardeau. Heureusement, nous voyons émerger un autre visage de notre pays. Il n’y a donc pas lieu de faire des histoires en inventant des crises et en cherchant à créer une instabilité institutionnelle. En fait, le jeu favori des détracteurs se résume désormais à des tentatives de division et à des attaques sans fondement dirigées contre le chef du gouvernement. SONKO empêcherait-il certaines personnes de dormir ? La question mérite d’être posée. Quoi qu’il en soit, le Président de la République et son Premier Ministre ont fini de démontrer leur intelligence politique et leur sens élevé de l’intérêt général en faisant toujours du peuple le seul baromètre.
Bref, il y a des moments où la recherche de midi à quatorze heures aboutit ni plus ni moins à une cécité mentale ou psychique. Dans tous les cas, aucune perte de temps n’a été constatée, le Mandat est en bonne voie, il avance à un rythme soutenu et le chemin vers son terme est soigneusement balisé. Face à tout cela, le Président Bassirou Diomaye Diakhar FAYE pourrait, un jour, se réjouir d’avoir retrouvé un Sénégal de briques et d’avoir laissé un Sénégal de marbre.
QU’ALLAH REND TOUT PLUS FACILE.
Mohamed GASSAMA / citoyen sénégalais de la diaspora
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