Paul Watson demande l’asile politique en

Paul Watson demande l’asile politique en
Paul Watson demande l’asile politique en France

Placé en détention provisoire au Groenland depuis le 21 juillet, toujours dans l’attente d’une décision de la justice danoise concernant la demande de son extradition vers le Japon pour une affaire remontant à 2010 et qu’il conteste, le militant écologiste de 73 ans demande l’asile politique. en , où il réside depuis 2015.

C’est par l’intermédiaire de Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, et de ses avocats, que Paul Watson a annoncé qu’il demandait l’asile politique à la France, mercredi 16 octobre. Une demande adressée au président de la République Emmanuel Macron dans une lettre dont certains extraits dont ont été publiés sur les réseaux sociaux.

Interrogée par Sud Radio jeudi 17 octobre, la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a indiqué que la question « n’est pas réglée aujourd’hui ».

Paul Watson a été arrêté le 21 juillet lors d’une escale à Nuuk (Groenland) pour ravitailler son navire, avec lequel il prévoyait d’intercepter le Kangei Maru (113 mètres de long, 9 300 tonnes), le nouveau navire-usine baleinier japonais dans le Pacifique Nord. Le Japon a déposé une demande d’extradition du militant auprès du ministère danois de la Justice dix jours après son arrestation, réactivant un mandat d’arrêt émis en 2010, qui l’accusait d’être co-responsable des dommages et blessures infligés lors d’une campagne visant un baleinier japonais.

Des accusations rejetées par le fondateur de Sea Shepherd et de la fondation qui porte son nom, qui continue de demander sa libération auprès de la justice groenlandaise. Début octobre, elle a décidé de poursuivre sa détention jusqu’au 23 octobre.

© Un article de la rédaction de Mer et Marine. Reproduction interdite sans le consentement du ou des auteurs.

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