Et on reparle de cette affaire qui alimente les débats à travers le monde !
Des informations fiables en possession de Dakarposte montrent que la justice sénégalaise, saisie d’une plainte de l’ancien président Macky Sall, n’a finalement pas accédé à sa demande. En effet, Aïcha Camara, qui a eu une altercation avec l’ancien chef de l’Etat et son épouse, est, à l’heure où nous rédigeons ces lignes, libre comme le vent.
“Grâce à l’intervention de l’Etat du Sénégal, des autorités du pays mais aussi et surtout à la mobilisation des patriotes du Maroc, notre sœur, arrêtée et entendue par le tribunal de Casablanca est libre” affirme une Source proche de la dame. .
Pour rappel, nous écrivions qu’il y a eu un échange bref et brutal de propos acerbes, de réponses désobligeantes entre l’ancien chef de l’Etat du Sénégal, son épouse Marième Faye Sall et une citoyenne sénégalaise répondant au nom d’Aïcha Camara. Qui éprouve une rancune implacable contre les époux Sall et co. La cause ? Il nous revient « que c’est une dame, patriote, qui aime ardemment sa patrie et le prouve par ses actes, du nom d’Aïcha Camara, Rufisquoise, résidant en France, grande sœur d’Abdoulaye Kamara candidat à la candidature aux législatives. élections au nom de Pastef Rufisque Ouest La dame a interrogé Macky Sall sur un vol vers le Maroc en partance pour la France, sur sa gestion catastrophique, sur le nombre de morts, le nombre d’exilés dont son frère et sur le. cas de milliers de détenus politiques je répète ses paroles « Coono bi nga ñu tek yal nañu yalla até ak yaw(…) »
Marième Faye Sall, qui était présente au moment des faits, s’en est pris verbalement à Aïcha Camara, des échanges de propos acerbes ont suivi. La dame lui a rappelé que le karma existe et que son régime a fait preuve d’une violence incroyable contre les manifestants, notamment du PASTEF qui ne voulait plus de lui.
La dame, dont la famille fait partie des victimes du régime précédent (voir le document parmi d’autres images publiées), ne s’en offusque pas. Son frère a été victime de violences physiques (ndlr : par pudeur, nous ne pouvons pas publier les images extrêmement sensibles en notre possession de son frère).
Bref, elle en veut à Macky Sall comme aux fameux 300 détenus, partisans inconditionnels d’Ousmane Sonko, arrêtés lors de manifestations de contestation du pouvoir datant de mars 2021 jusqu’à celles de début février 2023, finalement relâchés, principalement à Dakar.