véritable casse-tête à la prison de Roberval

véritable casse-tête à la prison de Roberval
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Le procureur du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), Me William Lacombe, a demandé vendredi après-midi au tribunal de retirer une condition imposée à cinq des six accusés.

Le juge Pierre Simard a accepté que l’ordonnance interdisant la communication entre les codéfendeurs soit retirée pour ces défendeurs.

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Maître William Lacombe (Mariane L. St-Gelais/Le Quotidien)

Me Lacombe a expliqué au magistrat qu’il faisait cette demande « pour des raisons de sécurité ». Le procureur a ajouté qu’il y avait actuellement une situation particulière au centre de détention de Roberval. « Cela devient difficile à gérer. Ils (la détention de Roberval) préfèrent les garder au même endroit », a déclaré le représentant du ministère public au magistrat.

Ainsi, l’interdiction de contact a été levée pour Andy Chèvrefils-Brousseau, 28 ans de Montréal, Grégory Loranger-Demers, 22 ans de Gatineau, Zachary Gagnon, 20 ans de Saint-Lambert, Nathalie-Andrée Bourassa, 44 ans. , et son fils Mathis Bourassa-Desbiens, 20 ans. Les deux derniers sont originaires de Saint-Félix-de-Valois. Leurs avocats ont été informés de cette modification.

Seul Stéphane Hébert, 32 ans de Joliette, conserve cette condition. Il n’est actuellement pas représenté par un avocat.

Le groupe a été intercepté lors d’une opération de police qualifiée de à haut risque par les autorités. La série de six accusations déposées conjointement pour chacun des accusés porte sur quatre armes à feu prohibées et chargées. Un cinquième a également été saisi et fait toujours l’objet d’une enquête.

Canada

 
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