Les atouts de la Haute-Vienne dans « Limoges et le pays de Vienne, Regards sur le patrimoine »

Les atouts de la Haute-Vienne dans « Limoges et le pays de Vienne, Regards sur le patrimoine »
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Deux historiens et un géographe dressent le portrait de la Haute-Vienne, département à redécouvrir, dans un ouvrage richement illustré.

L’eau, les arbres, le granit et les hommes. Nature et patrimoine, bâti et savoir-faire. C’est le portrait d’une grande partie de la Haute-Vienne* que dressent David Glomot, Philippe Grandcoing et Hélène Lafaye dans Limoges et le pays de Vienne, Regards sur un patrimoine.

Le livre a été écrit il y a plus de 10 ans*, mais la Haute-Vienne n’a pas beaucoup changé depuis (voir encadré). Les trois auteurs – deux historiens et un géographe – nous font voyager à travers le Val de Vienne, Limoges ou sur le chemin de Compostelle, tout en parlant des richesses du département.

Châteaux, œuvres d’art, édifices religieux, maisons remarquables figurent dans cet ouvrage. Des dizaines de photos, anciennes ou récentes, plans et gravures rappellent que la Haute-Vienne possède des éléments patrimoniaux rares comme le pont pigeonnier de Veyrac, unique en , les colonnes torses de la cour d’honneur du château de Rochechouart, ou encore la lanterne du mort de Coussac-Bonneval.

Limoges a son chapitre, qui retrace l’histoire de ses débuts sur les bords de Vienne, ces deux coeurs de la future ville unique de Limoges que furent la Cité et le Château, l’histoire du quartier des Ponts, celle de Limoges la rouge et de l’aventure de la porcelaine. Là encore, des photos anciennes comme cette vue de Limoges depuis le train, datant de 1899, ou ces gravures de la fin du XIXème siècle donnent une autre image de la rue du Pont-Saint-Etienne et des quais de Vienne.
L’ouvrage est une synthèse de tout ce qui fait la Haute-Vienne d’hier et d’aujourd’hui. Ses savoir-faire, que ce soit dans les arts du feu, de la ganterie ou de la papeterie, ses moulins, que ce soit à papier ou à pâte de porcelaine, ses montagnes (de Blond et d’Ambazac) qui n’en sont pas des montagnes, ils forment tous l’identité de la Haute-Vienne. .

Pour ceux qui pensent que la Haute-Vienne est un territoire sans intérêt, Limoges et le pays de Vienne, Regards sur un patrimoine rappellent qu’il s’agit d’un département doté de réelles richesses naturelles et de réels attraits touristiques, que ce soit dans la campagne ou dans les environs. ou des villes médiévales de villes.


Les auteurs excluent de leur sujet le nord du département de la Haute-Vienne, appartenant historiquement aux Marches, aux « patrimoines très différents ».

Le livre, sorti pour la première fois en 2012, est disponible en librairie au prix public de 15 €. Le livre.

Limoges et le pays de Vienne, de David Glomot, Philippe Grandcoing et Hélène Lafaye, éditions Loubatières, 127 pages, 15 euros.

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. Si on veut prendre le TGV, en 2024, il faudra le prendre ailleurs qu’en Haute-Vienne, où il n’est jamais arrivé. Mais à cette exception près, le livre est à jour.

 
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