Le directeur des communications de l’Université Laval (UL) a confirmé l’information vendredi. Elle ne peut cependant pas révéler de détails concernant ce licenciement.
« Cela fait partie du dossier personnel du salarié. Je ne peux révéler aucune information, quel que soit le dossier», souligne Andrée-Anne Stewart.
La date effective de ce licenciement est actuellement inconnue. Sur le site Internet de l’UL, le nom de Patrick Provost est introuvable dans l’annuaire des employés.
Le chercheur en biochimie a déjà été sanctionné à plusieurs reprises par l’université. Il a même été suspendu à trois reprises : d’abord pour ses propos publics contre les vaccins à ARN messager, puis pour avoir accordé des interviews aux médias lors de ces suspensions.
Patrick Provost est actuellement en audience d’arbitrage devant un tribunal pour contester les sanctions qui l’ont laissé sans salaire pendant plusieurs mois.
Le chercheur continue d’affirmer que les vaccins anti-Covid comportent des risques inacceptables d’effets secondaires pour les enfants âgés de 5 à 11 ans. Or, les autorités de santé publique de la majorité des pays du monde ont jugé que ce n’était pas le cas puisqu’elles recommandaient la vaccination de cette tranche d’âge. .
Le professeur soutient depuis le début qu’il est victime de la censure de son employeur, étant donné qu’il a des opinions différentes de celles des masses populaires.
Depuis le début de cette bataille, le syndicat des enseignants soutient le chercheur.
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