Des travailleurs sans papiers pour sauver l’industrie Horeca ? Pourquoi la proposition d’Ecolo risque de pschitt

Des travailleurs sans papiers pour sauver l’industrie Horeca ? Pourquoi la proposition d’Ecolo risque de pschitt
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Dans « Il faut qu’on parle » ce mercredi 24 avril, Fanny Rochez et son équipe sont notamment revenus sur le sujet. santé des Belges (dont l’espérance de vie a augmenté), à ce sujet incroyable histoire belge d’un policier braqué qui poursuit des voleurs mais finit au tribunal et finalement sur l’idée d’Ecolo d’embaucher des sans-papiers pour « sauver » l’industrie Horeca.

Sur ce dernier point, le président d’Horeca Bruxelles Matthieu Léonard a donné son point de vue. Pour lui, Ecolo a raison pour deux raisons. D’un point de vue humain tout d’abord avec «les personnes en situation précaire, notamment en région bruxelloise » ; et d’un point de vue économique donc, «en raison des 200.000 postes vacants ou emplois disponibles actuellement en Belgique, l’Horeca représente 10% ».

Mais les convives présents autour de la table ont tous été unanimes pour dire que cette mesure aura du mal à passer. Parce que c’est une compétence fédérale et qu’on risque d’avoir des partis qui y sont complètement opposés et qui seront au pouvoir après les élections. “On aimerait le croire, mais on connaît la position de certains partis, et d’un parti en particulier, qui – sans être raciste – partent du principe qu’on se rangera d’abord du côté des demandeurs d’emploi déjà belges et depuis longtemps Les patients à terme doivent être réactivés. Je comprends mais c’est dommage car ici nous avons beaucoup de gens immédiatement disponibles et qui ont envie de travailler »confie Matthieu Léonard.

Regardez l’intégralité de l’émission en vidéo ci-dessus.

 
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