Contenu réservé aux abonnés
Guillaume Castella, également écrivain indépendant à La Liberté, ressuscite deux ouvrages italiens du début du XIXe siècle. Les concerts ont lieu samedi et dimanche à Fribourg et Romont.
Publié le 24/04/2024
Temps de lecture estimé : moins d’1 minute
Des chorales disparaissent, d’autres naissent. Parmi les groupes récemment créés, l’ensemble vocal Fréquences. Ses 30 voix mixtes ont d’abord été dirigées par Yves Piller, avant de travailler sous la direction de Guillaume Castella. Egalement musicologue de formation, le chef d’orchestre est friand de pièces avant-gardistes et impopulaires : c’est le cas des deux œuvres oubliées, chantées samedi et dimanche à Fribourg et Romont.
La parole ultime de nos cœurs, Signore sulla croce de Saverio Mercadante et « un court oratorio de la Passion », et son écriture est du bel canto typique de l’opéra italien du début du XIXe sièclee siècle (1839). LE Stabat mater de Niccolò Zingarelli (1812) est encore de style classique, sa partition a été transcrite pour l’occasion.
>Samedi 20h Fribourg, Église des Cordeliers. Su. 17h00 Collégiale de Romont.