Trois médias ont été perquisitionnés à la demande du parquet national antiterroriste, dans le cadre d’une enquête qui a donné lieu, dans le même temps, à huit arrestations en France.
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Journaliste au service des enquêtes
Par Arthur SentéPublié le 23/04/2024 à 17h21
Temps de lecture : 2 minutes
DDans la nuit de lundi à mardi, vers 1h30 du matin, les locaux de plusieurs médias (Sterk, Roj et Hevron) liés à la communauté kurde et basés à Denderleeuw, dans le Brabant flamand, ont fait l’objet d’une perquisition dirigée, selon au parquet fédéral, par un juge d’instruction de Charleroi avec le soutien de la police fédérale. Selon le ministère public, celle-ci visait « à établir d’éventuelles preuves de financement du terrorisme ». Et ce, à la demande des autorités judiciaires françaises, comme l’a confirmé dans la journée le Parquet national antiterroriste (PNAT).
Selon le PNAT, il s’agit d’une information judiciaire “ouverte à la cellule antiterroriste du tribunal judiciaire de Paris pour des faits commis entre 2020 et 2024, qualifiés de participation à une association de malfaiteurs en vue de préparer un acte de terrorisme”. , le financement d’une entreprise terroriste, ainsi que l’extorsion et la tentative d’extorsion en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste.
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