Breaking news
Les marchés attendent l'inflation américaine -
Sud Gironde : alerte emploi 11 septembre -
Un policier agressé au couteau lors d'une arrestation -
La justice confirme le contrôle judiciaire du motard -
un hommage à Medhi Narjissi avant Toulouse-La Rochelle -
La Colombie prend sa revanche sur l'Argentine (éliminatoires) -

Dans une nouvelle escalade… Les greffiers des tribunaux en grève pendant six jours – Lakome2

Dans une nouvelle escalade… Les greffiers des tribunaux en grève pendant six jours – Lakome2
Dans
      une
      nouvelle
      escalade…
      Les
      greffiers
      des
      tribunaux
      en
      grève
      pendant
      six
      jours
      –
      Lakome2
-

L'Union Démocratique de la Justice se prépare à une grève nationale de six jours pour protester contre le manque de volonté politique du gouvernement de répondre à ses revendications.

Le Syndicat national de la justice, affilié à la Fédération démocratique du travail, a annoncé une grève nationale les 10, 11 et 12 septembre, suivie d'une autre grève les 24, 25 et 26 septembre, pour protester contre « les politiques gouvernementales injustes et le mépris des revendications des travailleurs du secteur de la justice ».

Le syndicat a condamné la décision d’interdire sa marche nationale, estimant que « la tendance à interdire toutes les marches de protestation à revendications sociales est devenue un indicateur négatif qui ronge l’équilibre des droits de l’Homme que le Maroc a toujours eu à cœur de renforcer depuis l’alternance gouvernementale ».

Le Syndicat démocratique de la justice a également annoncé son rejet de la décision de déduire des salaires des grévistes du secteur, et a souligné qu'il « n'a jamais cherché à créer des tensions gratuites ni à exploiter les conditions sociales pour obtenir des gains organisationnels ni à exploiter arbitrairement le travail syndical à des fins autres que les revendications sociales des salariés ».

L'organisation syndicale a souligné sa volonté de toujours adhérer aux mécanismes de dialogue productif, mais elle a constaté ce qu'elle a appelé « la gestion ambiguë et laxiste par le gouvernement des résultats du dialogue sectoriel ».

Le syndicat a appelé le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, à assumer sa responsabilité et à intervenir pour assurer l'approbation et la mise en œuvre des amendements à la loi fondamentale du bureau d'état civil conformément à la formule convenue avec le ministère de la Justice.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Des cérémonies en hommage aux victimes du 11 septembre 2001 à l'occasion du 23e anniversaire des attentats terroristes
NEXT 15 romans français et 16 romans étrangers dans la première sélection