L’association Solidarité Entraide 23, créée très récemment, recherche activement des bénévoles pour faire face à l’afflux de dons récoltés.
En attendant l’ouverture d’un deuxième local, espérée fin mai, c’est à l’extérieur, devant les anciens locaux de l’entreprise SILIGOM, que les bénévoles de l’association Solidarité Entraide 23 ont été contraints d’entasser tous les fonds collectés. plats. Après un mois et demi d’ouverture, Pascale Lasbley, la secrétaire de l’association se dit « très surprise par la multitude de dons effectués par les Creusois depuis plus d’un mois ».
Il manque des petites mains et des gros bras
L’association collecte tous types de dons, sauf alimentaires, qu’il s’agisse de vêtements, de meubles, de livres ou encore de jouets et les revend ensuite à très bas prix aux personnes dans le besoin. L’association peut également se déplacer dans le département pour collecter des dons ou des maisons vides. Solidarité Entraide 23 compte désormais une quinzaine de bénévoles. Cela reste cependant trop peu pour gérer un stock très important. L’association recherche des bénévoles dans différents domaines, qu’il s’agisse de petites mains pour réorganiser et trier les dons, de grandes mains pour déplacer les meubles et réaliser les déménagements ou encore des personnes maîtrisant Internet et les réseaux sociaux pour assurer la communication. et gérer les publicités en ligne.
Bientôt le nouveau centre de ressources Emmaüs ?
Dès la semaine prochaine, l’association a besoin d’un coup de pouce pour réorganiser les services extérieurs. Le président Stéphane Przysiezna rappelle que l’association est ouverte deux jours par semaine pour la vente (mercredi et samedi) et que le soutien de quelques bénévoles supplémentaires permettrait d’offrir « un service de meilleure qualité au public ».
Pratique : l’association est ouverte le mercredi de 14h à 17h et le samedi de 10h à 17h. Si vous souhaitez aider, vous pouvez contacter l’association au 06.47.37.27.08 ou vous rendre dans le secteur du Clocher, entre les Monts de Quartier Guéret et parc du Dirco.
Erwann Magnier
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