L’artiste guadeloupéenne Minia Biabiany remporte un de 100 000 $

L’artiste guadeloupéenne Minia Biabiany remporte un de 100 000 $
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L’artiste guadeloupéenne Minia Biabiany a remporté la première bourse de 100 000 $ de la Fondation Han Nefkens, plusieurs musées internationaux, pour une nouvelle commande d’images en mouvement centrée sur la crise environnementale. Minia Biabiany a été sélectionnée parmi trois finalistes.

Minia Biabiany est une artiste plasticienne née à Basse-Terre en 1988. Après des études à l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de et obtient son diplôme en 2011. Depuis, elle expose en Europe, aux États-Unis, en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Elle a notamment participé à la Biennale de Berlin en 2018. En 2019, elle a été lauréate du Sciences Po d’art contemporain..

Elle vit et travaille entre les villes de Mexico au Mexique et Saint-Claude en Guadeloupe. Elle réalise ses œuvres à partir de matériaux pauvres et organiques, et son travail vise à déconstruire des histoires sociales ou culturelles.

Elle s’intéresse particulièrement à la représentation du patrimoine culturel et postcolonialisme.

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Sculpture intitulée « Histoire interrompue de la terre, histoires d’ici 3 » 2020

©Minia Biabiany

Cette première édition du prix, soutenue par la Fondation Han Nefkens aux côtés du Museu d’Art Contemporani de Barcelona, ​​du Museo Universitario Arte Contemporáneo de Mexico et du Bass de Miami Beach, s’est concentrée sur le thème de l’écologie. Il soutient la création d’une œuvre d’art explorant la relation non durable de l’humanité avec la Terre, qui sera ensuite exposée dans les institutions participantes.

Minia Biabiany, qui a exposé au Palais de Tokyo et à la 10e Biennale de Berlin, envisage de mêler art, écologie et pédagogie dans le contexte de sa Guadeloupe natale, utilisant son projet pour mettre en lumière le pouvoir politique de « l’imagerie poétique ». Le jury l’a félicitée pour avoir répondu aux urgences contemporaines à travers une pratique mêlant histoires coloniales, crises écologiques et récits culturels.

Cette subvention me permet d’explorer davantage comment l’art peut s’engager avec l’écologie et la pédagogie pour provoquer la réflexion et inspirer le changement. Je suis reconnaissant de la confiance du jury et de l’opportunité de contribuer à ce dialogue critique.

Minia Biabiany, artiste visuelle
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Sculpture intitulée « Histoire de la cadence avec l’eau et le volcan » 2021

©Minia Biabiany

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