Une somme pour le moins astronomique… Vendredi 12 avril, le magazine Paris-Match a révélé que le roi Mohammed VI a mis en vente son château (hérité à la mort de son père Hassan II) situé sur la commune de Gretz-Armainvilliers, en Seine-et-Marne. Une impressionnante propriété de 2 500 mètres carrés habitables qui compte une centaine de pièces, ainsi qu’un salon de coiffure, trois ascenseurs, cinq salons, un hammam et bien plus encore. Et pour acquérir cet immeuble il faudra y mettre le prix puisqu’il est proposé à 425 millions d’euros.
“C’est le château le plus cher de France et peut-être du monde.» a déclaré l’agent immobilier en charge de la propriété. Le prix de 425 millions d’euros se justifie par la propriété elle-même mais aussi par le terrain de 1 000 hectares qui offre de nombreuses possibilités. Un investisseur pourrait y construire des milliers d’appartements s’il le souhaitait..» Cette demeure anglo-normande a été construite en 1884 par la famille Rothschild puis achetée dans les années 1990 par le défunt souverain Hassan II, qui l’a embellie de son vivant. “Sous la direction de l’architecte Michel Pinseau, le domaine connaît une transformation remarquable, atteignant des sommets de grandeur et d’opulence.», a alors précisé l’agent immobilier. Avis aux amateurs…
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Mohammed VI : son autre château crée la polémique
Mohammed VI possède plusieurs propriétés en France. S’il possède un hôtel particulier situé avenue Émile-Deschanel, à Paris, il a également hérité du château de Betz, dans l’Oise. Une propriété que le défunt monarque avait achetée aux Grimaldi en 1972 et qui – lorsque l’actuel souverain y séjournait – consommerait beaucoup d’eau. Une consommation d’eau trop importante qui a créé la polémique puisqu’en 2016, certains habitants de la commune n’avaient plus d’eau et ont donc dû acheter plusieurs packs au supermarché.
Comme révélé L’Expressfaire “pardonner” de “pomper toute l’eau de la communauté« Mohammed VI aurait trouvé une solution étrange : participer à la vie de la commune. Lors de son passage à Betz, il se faisait livrer du couscous tous les vendredis midi aux commerçants de la rue principale. Toujours dans le but d’apaiser les tensions, il aurait même (avant la pandémie de Covid-19) proposé des vacances tous frais payés à plusieurs enfants de la commune. Enfin, il aurait également financé certaines rénovations d’établissements et aurait même fait don de légumes de son propre potager à l’épicerie solidaire du village.
Article rédigé avec la collaboration de 6Medias
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