Pluie : un mardi humide avant le retour du soleil
Le réveil a été sauvage ce mardi matin en Côte-d’Or. Une dizaine de millimètres sont attendus en journée. La pluie devrait toutefois se calmer à partir du milieu de l’après-midi. Selon Frédéric Decker, c’est la dernière mauvaise journée avant une accalmie de quelques jours. “Ça ira mieux à partir de mercredi”, note le météorologue, “avec un retour du beau temps malgré la formation de nuages dans l’après-midi”. Le soleil sera ensuite au rendez-vous jusqu’à samedi.
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Températures : une baisse brutale la semaine prochaine ?
On attend des valeurs saisonnières ce mardi avec 13 degrés l’après-midi. Mercredi, après une matinée fraîche (3 ou 4 degrés), il devrait faire 14 degrés l’après-midi. Le thermomètre va chauffer à partir du week-end : 18 degrés jeudi, 21 degrés vendredi et jusqu’à 24 degrés samedi selon les premières prévisions.
Cependant, un changement de temps est attendu dimanche même s’il reste encore doux. Les températures pourraient baisser la semaine prochaine : selon MétéoNews, les maximales ne pourraient pas dépasser les 10 degrés mardi 16 avril et mercredi 17 avril !
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Inondations : toujours la vigilance jaune en Côte-d’Or
Si le niveau des eaux a baissé ces derniers jours afin de faire oublier les crues des premiers jours d’avril, une alerte jaune aux inondations est toujours en cours dans le département. Cela concerne la Seine, qui reste sous surveillance. La baisse se poursuit néanmoins : à la station Nod-sur-Seine, on enregistrait 1,08 m ce mardi à 7 heures, contre 2,65 m mardi 2 avril à la même heure.
Sable du Sahara : la fin d’un épisode « exceptionnel »
Bonne nouvelle pour la propreté de votre voiture : avec le vent tournant à l’ouest, la Côte-d’Or en a fini avec ce nouvel épisode de poussière saharienne qui voile notre ciel depuis trois jours. Un « épisode exceptionnel » selon l’Institut Copernic qui a alerté lundi sur la pollution atmosphérique provoquée par ces poussières.
Cette remontée de sable venue du Sahara semble de plus en plus fréquente. Selon le Service Copernicus de surveillance de la qualité de l’air (CAMS), « s’il n’est pas rare que des panaches de poussière saharienne atteignent l’Europe, l’intensité et la fréquence de tels épisodes ont augmenté ces dernières années, ce qui pourrait potentiellement être attribué à des changements dans la circulation atmosphérique. motifs.”
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