8 mois après le lancement de son programme de sécurisation de son littoral, la ville de Petit-Bourg a fait le point ce matin, avec les services de l’Etat, de cette vaste opération de destruction d’habitations dangereuses. Une trentaine de ces maisons ont déjà été détruites et les habitants relogés. Reste désormais à sécuriser les lieux avant de procéder à de nouvelles destructions.
Identifiées zones « à risque grave » par le BRGM, le Bureau de recherches géologiques et minières, la zone Bélair et celle de Bovis à Petit-Bourg, ont été les premières à bénéficier de cette vaste opération de protection des populations. et des marchandises. La menace est réelle : le risque d’effondrement de la falaise côtière. Rony Jean-Charles, directeur de l’agence 50 Pas Géométriques revient sur les différentes phases de ce projet :
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La première vague de destruction de bâtiments menacés par l’érosion est lancée en septembre 2023. Aujourd’hui, environ 75 % de cette superficie est abritée même si quelques familles sont encore en danger, selon le maire de Petit-Bourg, David Nébor.
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Pionnière dans la sécurisation de son littoral, la ville de Petit-Bourg devrait prochainement être rejointe dans cette initiative par 17 communes du département. Les zones déjà déconstruites feront l’objet d’un programme de revégétalisation.
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