Le Printemps des Poètes de L’Isle-Jourdain a apporté son lot de réflexions et d’échanges autour de « La Grâce »

Le Printemps des Poètes de L’Isle-Jourdain a apporté son lot de réflexions et d’échanges autour de « La Grâce »
Descriptive text here

l’essentiel
Le Printemps des Poètes s’est terminé comme il avait commencé, en surfant sur Grace. Durant la quinzaine, de nombreuses activités ont eu lieu.

Le Printemps des Poètes s’est terminé comme il avait commencé, sur la « Grâce ». Parmi les acteurs majeurs de l’événementiel de la ville de Lisloise, le public a pu rencontrer Patrick Zemlianoy (membre du collectif) lors de différents rendez-vous, d’abord à la librairie Cadeaux de Pages pour présenter les éditions B&B et le poète gersois Claude. Barrère; puis, avec d’autres amis, rendre hommage au poète lors de la cérémonie d’ouverture officielle du Printemps et de l’inauguration de la rue qui porte le nom de l’ambassadeur de la poésie. Il était également au Musée d’Art Campanaire pour « 50 poèmes pour le climat » : « L’état de grâce entre l’homme et la nature est menacé. Le climat non régulé engendre un côté anxiogène qui nous interpelle », a-t-il déclaré. il explique. Au milieu de ces échanges, de ces réflexions évoquant le progrès technique, les ambitions des hommes, la mondialisation, la « Grâce » n’a pas été oubliée.

La poésie et la lecture étaient bien représentées lors de ce rendez-vous annuel, avec la présence de jeunes poètes dont Lou Achard pour « Les Temps qui courent » et Romain Lasserre avec « Solitudes ». Le chœur Cor de Lua et le guitariste Georges Vidal ont également apporté une fraîcheur poétique. Ce dernier, à travers l’interprétation de chansons comme « Comme un arbre dans la ville », « Le lac Saint-Sébastien », nous a aussi rappelé la fragilité du monde.

Un hommage à Marcelle Delprastre, poète limousine de langue occitane et française a également été rendu. Samedi 23 mars, toujours au musée devant plusieurs dizaines de personnes, Patrick Zemlianoy s’est exprimé sur le poète et traducteur Raymond Farina. Parmi ses nombreux écrits, publications et recueils, il a notamment écrit « Un printemps sans fenêtre suivi de réminiscences ». Un poète à la fois discret mais majeur néanmoins. « La poésie peut-elle sauver le monde ? » Cela pourrait être la question de tous après ces réunions.

Durant la quinzaine du Printemps, réflexions, échanges et partages ont nourri les rencontres poétiques sur fond de « Grâce ».

#Français

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Différences à la Banque du Canada sur la baisse du taux directeur
NEXT Les murmures de lundi : les adieux prodigieux d’Eric Frechon au Bristol, Benjamin Collombat au Château de Courcelles, les Gautier et leur Auberge de la Give, les nouveaux Relais & Châteaux de Drisco à Tel Aviv et l’ascension de Tomer Tal, les débuts de Philippe Mille nouvelle façon