La défaite ce samedi 16 mars (3-1) a mis fin aux derniers espoirs de barrages pour les Sétois.
Il n’y aura donc pas de « finale » entre Sète et Paris pour la dernière journée de la phase régulière. Les hommes de Luc Marquet ont peut-être repoussé l’inéluctable ces derniers jours, mais la sanction a fini par tomber. Deux fois. Parce que les Parisiens ont gagné à Nice (2-3) et parce que, dans le même temps, Arago a déposé les armes sur le parquet nantais.
Trop peu, trop tard
“C’est une grande déception, même si nous savions que cela ne dépendait pas que de nous”déclare Luc Marquet. « On a suivi le match de Paris sans le dire aux joueurs. Et ce qui m’a plu, c’est qu’on s’est battu pendant les trois premiers sets. » Pas assez, et un peu comme cette saison. Qui se terminera donc ce samedi dans la capitale, par un match finalement sans enjeu.
« Nous avons rencontré quelques cadres ce dimanche matin pour définir le programme de la semaine. Dans notre malheur, nous avons au moins la chance de n’avoir plus qu’un match à jouer. Parce qu’il va certainement décompresser. On s’est rendu compte lors de ce match à Nantes que l’enjeu nous maintenait sous tension mais que quand il descendait, on se liquéfiait. Maintenant, malheureusement, nous sommes installés, il n’y a plus de projet à faire sur la comète… »
Regrets
A l’heure du bilan, l’entraîneur sétois exprime déjà ses regrets. « On perd un set à droite, un set à gauche. Et au final, cela signifie quelques rendez-vous manqués. Je pense à Narbonne, Nantes et Toulouse chez moi, et Nice dehors. Nous avons été trop incohérents cette saison. On peut encore déplorer certaines blessures, mais on a quand même eu des occasions de briguer cette qualification… »
Un ultime élan est encore attendu samedi à Paris, pour l’honneur.