Simon Worou partage ses rencontres pleines d’humanité dans son nouveau livre

Simon Worou partage ses rencontres pleines d’humanité dans son nouveau livre
Simon Worou partage ses rencontres pleines d’humanité dans son nouveau livre

Simon Worou, avec « Rencontres et confiances » (Toute Latitude), sera en dédicace à la Maison du livre ce samedi 23 novembre, de 10h à 17h.

Simon Worou rit. Lorsqu’on lui demande si ce deuxième livre qu’il vient de publier fait écho à ce qu’il a sans doute vécu, il ne répond pas, il rit… Un rire qui en dit sans doute beaucoup.

Ce n’est pas tant en maire qu’il a écrit ce deuxième livre, après « Enfant du Togo, maître en Aveyron », mais en citoyen, dont la vie personnelle, publique ou professionnelle l’a amené, comme tout finalement tout le monde, à rencontrer beaucoup de choses. de personnes. Avec cette idée qu’il faut « se débarrasser de nos a priori et dépasser une première impression qui est, contrairement à l’adage, rarement la bonne ».

La vie peut réserver de belles rencontres

Il raconte le jour où il est allé prendre un café à Rodez et a rapidement jugé un homme qui ne répondait pas à son « bonjour ». « Pourtant, j’ai honte de l’avoir jugé trop vite. Parce qu’il n’a pas répondu à mon premier « bonjour », je me suis permis de le mettre dans la case des gens grossiers, alors qu’il était tout simplement préoccupé par ses soucis d’un autre genre, la santé et qu’il était simplement « ailleurs » lorsque je le saluais. , conclut Simon Worou. C’est l’une des nombreuses confidences qu’il révèle.

Il y a cette fille d’un ami qui vient lui parler de son souhait professionnel, ce type qui avant d’allumer sa cigarette, sur la terrasse, lui demande si ça ne le dérange pas, et cela ouvre un champ de discussion, qui fait dire à Simon que « la vie peut réserver de belles rencontres ». Comme cette personne qui finit par lui dire « avant, j’étais raciste Simon… »

C’est le cas tout au long de ces pages, où ses rencontres l’ont amené dans le domaine de la santé, de l’amitié, de la politique, du racisme, du rugby, de l’Afrique, du monde du travail, etc. Et où l’on devine aussi le plaisir que prenait Simon Worou à écrire. ce deuxième livre, porté, il l’avoue, par le succès du premier. «J’aime écrire. Et j’ai encore d’autres idées en tête», rigole-t-il. Un rire accueillant qui fait tomber bien des barrières.

 
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