Le 7 juillet, Fabrice Barusseau est devenu un député de Santonge avec 63 voix à l’avance sur le RN Stéphane Morin. Au moment de ses souhaits, le samedi 25 janvier, il portait autant la casquette du maire que celui du parlementaire. Le député socialiste attend que l’appel déposé par son adversaire soit purgé avant de laisser aller la tête de sa chère ville de Villars-le-Bois.
Histoire pour atterrir sur le terrain, il a couplé ses souhaits à une triple inauguration. L’école, fermée en 1989, a été transformée en un atelier municipal. Le toit de la salle du village a été rénové, avec 173 m² de panneaux photovoltaïques. Les ombres couvrent le parking voisin et la balle des balistes, pour une production électrique susceptible de répondre aux besoins de 80 ménages. “Une ville de 280 habitants peut apporter sa part”, a-t-il déclaré.
Eau -care
À l’Assemblée nationale, il est impliqué dans des fichiers qu’il a suivis depuis longtemps, comme le risque d’inondation et de submersion. «Je suis co -rapporteur d’une mission d’information sur l’adaptation au changement climatique. Plusieurs municipalités voisines ont été difficiles. Il est crucial de trouver des réponses et de les mettre en œuvre rapidement. Depuis la reconstruction d’une cathédrale en temps record, il doit être possible de soulager les contraintes administratives afin de protéger les habitants des risques de destruction ou de pénurie le plus rapidement possible. »»
«Depuis que la reconstruction d’une cathédrale en temps record a été possible, il doit être possible de soulager les contraintes administratives afin de protéger les habitants le plus rapidement possible des risques de destruction ou de pénurie»
Fabrice Barusseau mentionne également la question «impérative» de la ressource en eau. «Mesquons-nous vraiment la chance d’avoir un accès aussi facile à l’eau potable?» La gravité de la pollution des tableaux d’eau nécessite que la réglementation existante soit lancée sur la protection des bassins versants et des rivières. Quant à la gestion quantitative de l’eau, oui, il sera nécessaire d’irriguer et oui, il sera nécessaire de partager la ressource. Cela nécessitera un solide engagement politique à construire, aux côtés de nos agriculteurs, des modèles de production financièrement et respectueux de l’environnement. »»
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