Le Liban accuse l’armée israélienne d’avoir tiré sur des résidents qui essayaient de rentrer chez eux – la libération

Le Liban accuse l’armée israélienne d’avoir tiré sur des résidents qui essayaient de rentrer chez eux – la libération
Le Liban accuse l’armée israélienne d’avoir tiré sur des résidents qui essayaient de rentrer chez eux – la libération

La fin de la date limite et la reprise des tirs. L’armée israélienne a ouvert le feu le dimanche 26 janvier sur des résidents du sud du Liban qui tentaient de retourner dans leurs villages, tuant trois et 31 blessés, a annoncé le ministère libanais de la santé, en particulier à Houla et Kfarkila, Deux localités frontalières

Les coups de feu ont eu lieu tandis que l’armée israélienne est toujours déployée dans le sud du pays, malgré l’expiration de la période de 60 jours à la fin de laquelle il a dû quitter le territoire, comme stipulé dans l’accord de trêve signé le 27 novembre avec Le Hezbollah libanais après deux mois de guerre. Ce dernier prévoyait qu’à partir du 26 janvier, seule l’armée libanaise et les casques bleus du Finul pouvaient être déployés dans la région.

L’armée libanaise a dénoncé le«Attention» d’Israël et a dit qu’il était prêt «Pour poursuivre son déploiement dès que l’ennemi israélien se retire.» Quoi qu’il en soit, s’il a évacué la région côtière du sud du Liban, Tsahal occupe toujours des zones plus à l’est. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré vendredi que le retrait des forces israéliennes se poursuivrait au-delà de la date limite du 26 janvier. «L’accord de cessez-le-feu n’a pas été entièrement accompli par le Liban, le processus de retrait par étapes se poursuivra en accord avec les États-Unis»avait justifié le manager, ajoutant qu’Israël «Ne mettra pas[it] pas en danger de ses localités et de ses citoyens » dans le nord du pays.

«Politique de la terre brûlée»

En réponse, le Hezbollah a dénoncé un «Politique de la terre brûlée», juger par le biais de son adjoint Ali Fayyad, samedi, que “Les prétextes invoqués par Israël” visait à revenir «le retour des habitants impossible ». Le mouvement pro-iranien avait exercé une pression sur l’État libanais jeudi, fait appel à l’utilisation «Tous les moyens nécessaires […] Pour récupérer la terre et le déchirer des griffes de l’occupation », En cas de violation de la période de 60 jours.

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Pour sa part, le nouveau président libanais, Joseph Aoun, a exprimé lors d’une interview téléphonique avec son homologue français Emmanuel Macron «La nécessité d’obliger Israël à respecter les dispositions de l’accord afin de préserver la stabilité dans le sud». Il a également demandé à son voisin du sud «Fin à ses violations successives, en particulier la destruction des villages frontaliers […] ce qui empêchera le retour des habitants ».

Au total, 60 000 Israéliens et 900 000 Libanais ont été amenés à fuir la reprise en septembre des combats entre la milice chiite et l’armée israélienne. Malgré la trêve, l’armée israélienne mène régulièrement des grèves, prétendant cibler le Hezbollah, et l’agence de presse libanaise officielle ANI rapporte la dynamique dans les villages encore occupés. Cette trêve fragile a été marquée par des accusations de violations des deux camps.

Mise à jour à 11h13 Avec la nouvelle évaluation.

 
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