Dans « The Sunday Assassin », Leslie Kaplan imagine un collectif de femmes qui passent à l’action

Dans « The Sunday Assassin », Leslie Kaplan imagine un collectif de femmes qui passent à l’action
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Publié le 26 avril 2024 à 21h13 / Modifié le 26 avril 2024 à 21h14

On ne sait pas grand-chose de l’assassin du dimanche, cible du court roman du même nom de Leslie Kaplan (POL). Il tue à jours fixes, « dimanche, jour de repos, de paix, de tranquillité ». Son champ d’action est plutôt restreint – Paris et sa proche banlieue – et ses victimes sont exclusivement des femmes. Ils ont souvent en commun leur engagement politique : militants écologistes, délégués syndicaux, personnalités combattantes.

Face à l’inaction des autorités, et parce qu’elles refusent que la terreur ambiante paralyse leur quotidien, quelques-unes d’entre elles se rassemblent pour créer le « Grand Collectif ». Leur objectif : s’organiser en petits groupes et ratisser la capitale pour attraper le criminel qui les menace.

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