Les rues d’Oujda et de Tanger, habituellement animées du va-et-vient quotidien, ont vu leur rythme se calmer ce matin, laissant place au paisible cortège des fidèles vers les lieux de prière pour l’Aïd Al-Fitr. Le silence qui régnait n’était rompu que par les Takbirs et les Duaas de prière.
A Oujda, la prière de l’Aïd a été célébrée avec une ferveur particulière. Dès les premières lueurs de l’aube, les fidèles, vêtus de leurs plus beaux habits traditionnels, se sont dirigés vers les différents lieux de prière de la ville. Les mosallas et les mosquées étaient remplies de croyants rassemblés, formant un rassemblement impressionnant de dévotion et de fraternité.
(Crédit : Mohamed Chellay/Le360)
Tanger, ville située sur le détroit, offrait un tableau similaire, où la spiritualité était palpable. Les voix des fidèles s’élevaient en chœur, portées par la ferveur religieuse. L’air était chargé de gratitude, chaque Takbir amplifiant l’atmosphère de piété qui caractérise tant l’Aïd Al-Fitr.
(Crédit : Saïd Kadry/Le360)
Par Dit Kadry Et Mohammed Chelay
10/04/2024 à 13h05