Ils seraient plus susceptibles de développer des symptômes persistants, en particulier entre 40 ans et la ménopause. Les chercheurs évoquent l’influence possible des hormones, qui jouent sur la réponse immunitaire.
Selon une étude des National Institutes of American Health (NIH). En effet, alors que les hommes semblent être plus gravement affectés par la covide dans sa phase aiguë, les femmes restent plus exposées à des symptômes persistants après infection. Douleur thoracique, palpitations cardiaques, maux de tête… les symptômes varient beaucoup d’un patient à l’autre. Cette étude implique 12 276 participants, qui font partie de l’une des plus grandes cohortes du CoVVI-19, nommé Recover.
Les femmes auraient un risque de longuement covide » 31 % à 44 % plus haut », Dépicers François-Xavier Lescure, chercheur au centre d’infection Interm, les antimicrobiens, la modélisation, l’évolution. La longue covide étant difficile à diagnostiquer, l’étude est basée sur les symptômes rapportés par le patient. Les analyses fines montrent également des différences significatives…
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Santé