High Tech & Start-Up.
1. Créée en 2015 et basée à Ramat Gan, la start-up BladeRanger développé Robots nettoyeurs, des drones équipés d’IA pour l’inspection, l’entretien et le nettoyage de toute infrastructure mettant en danger les travailleurs, immeubles de grande hauteur, toitures, fenêtres, auvents de gares, panneaux solaires, etc.
2. La start-up A FAIT de Tel Aviv, 90 salariés, innove dans la traduction vidéo avec son nouvel outil Traduction vidéo. Ce logiciel utilise l’IA générative pour permettre à tout créateur de contenu de traduire ses vidéos dans d’autres langues tout en conservant une synchronisation labiale précise et un clonage vocal authentique. En téléchargeant simplement une vidéo depuis un téléphone, il est possible en quelques minutes de produire des versions en plusieurs langues, avec une voix off fidèle à l’animation originale et réaliste.
Le directeur du marketing, Ron Friedman explique : « L’idée est de permettre à chacun de créer des vidéos dans des langues qu’il ne parle pas, tout en préservant une interaction visuelle naturelle. ».
En proposant une alternative au sous-titrage et au doublage traditionnels, Traduction vidéo représente un atout majeur pour les entreprises souhaitant se développer à l’international, avec un bon rapport coût/efficacité.
3. La startup Inhayle de Tel Aviv, cofondée par Itaï Benartzi, a développé une technologie pour purifier et désinfecter l’air et les surfaces des bactéries et germes dans les espaces intérieurs, des hôpitaux aux stations spatiales.
De ce fait, Inhayle participera à une mission spatiale dirigée par la NASA, le programme Artemis.
4. Saint-Esprit est une entreprise pionnière qui utilise le génie génétique avancé pour créer de nouvelles souches de Black Soldier Fly (BSF) qui augmentent la production de pétrole. En supprimant les barrières à la culture BSF, L’ère des bogues produit des huiles durables qui peuvent remplacer les huiles comestibles et les biocarburants traditionnels. Son procédé permet également de recycler divers déchets organiques, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre provenant des carburants et des déchets tout en faisant progresser l’économie circulaire.
Yoav Etgar, co-fondateur et PDG de BugEra : « Notre processus aide Israël à surmonter certains de ses problèmes de sécurité alimentaire en devenant autosuffisant dans la production de ses propres protéines pour l’alimentation animale et l’agriculture. …Cette industrie permettra d’utiliser le BSF comme bio-convertisseur de déchets organiques en protéines alternatives, en huile alternative pour l’alimentation animale, l’agriculture et les biocarburants, et favorisera ainsi les capacités d’autosuffisance d’Israël. »