Smecta, Toplexil… La liste noire des 88 médicaments à interdire en 2025 : Actualités

Smecta, Toplexil… La liste noire des 88 médicaments à interdire en 2025 : Actualités
Smecta, Toplexil… La liste noire des 88 médicaments à interdire en 2025 : Actualités

La revue médicale Prescrire publie chaque année sa liste de médicaments jugés « plus dangereux qu’utiles ». Cette année, 106 médicaments, dont 88 commercialisés en , sont cités.

Ils sont dans vos pharmacies et sont à éviter car leurs bienfaits «sont jugés inférieurs aux risques». Comme chaque année, la revue médicale Prescrire met en lumière de nombreux médicaments courants que les consommateurs devraient éviter. Dans son enquête, publiée fin novembre, on retrouvait 88 médicaments autorisés sur le sol français et au sein de l’Union européenne.

Parmi les médicaments figurant sur cette « liste noire », la revue mentionne le Smecta et ses variantes, prescrits notamment en cas de gastro-entérite. Selon les auteurs de l’étude, ces médicaments à base d’argile sont à éviter « en raison de leur pollution naturelle par le plomb » qui contient «effets toxiques neurologiques, hématologiques, rénaux et cardiovasculaires« .

Les traitements de « dernière chance » pointés du doigt

Autres médicaments à éviter, ceux utilisés contre les maux de gorge ou la toux comme le sirop Toplexil ou Maxilase exposant à «troubles cutanés ou allergiques parfois graves« . Par ailleurs, la revue Prescrire dénonce les conditions de recours à certains soi-disant traitements »dernière chance» pour les patients souffrant de pathologies graves comme Defitelio ou Farydak en oncologie.

Par rapport à la liste publiée fin 2023, le Fintepla – une amphétamine destinée à lutter contre les formes sévères d’épilepsie chez les enfants – fait son retour, constate BFMTV, dans la liste des drogues à interdire car elle expose à «troubles neuropsychiques“et à divers”troubles cardiovasculaires« .

L’étude – qui aborde à la fois «aux patients » et « aux soignantss” – a pour objectif “pour les aider à choisir des soins de qualité et éviter de les exposer à des risques disproportionnés», assurent ses auteurs. Il met ainsi en avant le «effets secondaires« de certains médicaments, estimant que certains effets »rare, mais grave, peut ne pas avoir été détecté lors des tests« .

publié le 6 décembre à 15h26, Teddy Perez, 6Medias

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Santé

 
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