Espoir surprenant pour un antipaludique pour traiter le syndrome des ovaires polykystiques

Espoir surprenant pour un antipaludique pour traiter le syndrome des ovaires polykystiques
Espoir surprenant pour un antipaludique pour traiter le syndrome des ovaires polykystiques

DÉCRYPTION – L’artémisinine est testée pour traiter ce déséquilibre hormonal très fréquent qui touche 10% des femmes et constitue la principale cause d’infertilité en France.

Peu connu du grand public, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) touche pourtant 10 à 15 % de la population féminine. Cet acronyme quelque peu trompeur – les ovaires de ces femmes ne présentent pas en réalité de kystes – recouvre divers symptômes résultant d’une même anomalie : une production excessive d’hormones mâles (appelées « androgènes »), au premier rang desquelles la testostérone. Les femmes concernées peuvent souffrir d’une pilosité excessive, y compris sur le visage (hirsutisme), d’acné, de cycles menstruels irréguliers ou inexistants, d’infertilité et, dans certains cas, de surpoids et/ou de diabète.

Le traitement actuel de la maladie repose sur la réduction des symptômes : une pilule estro-progestative permet de réduire la production d’androgènes par les ovaires ; en cas d’hirsutisme sévère, de l’acétate de cyprotérone (plus connu sous le nom d’Androcur) ou de la spironolactone peuvent être prescrits ; le citrate de clomifène peut être utilisé pour induire…

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