Labastide-Rouairoux. Echos-ci echos-là accueille Yvonne Calsou en résidence

Labastide-Rouairoux. Echos-ci echos-là accueille Yvonne Calsou en résidence
Labastide-Rouairoux. Echos-ci echos-là accueille Yvonne Calsou en résidence

Comme chaque année, dans le cadre de L’image et la Parole, action labellisée par la DRAC Occitanie, Échos ci, Échos là invite un artiste à proposer une exposition en lien avec la thématique du festival « Échos d’ici, Echos d’ailleurs ». , sur les traces de Christophe de Ponfilly » pour une résidence de création dont la forme et le rendu varient selon chaque projet. Cette année, c’est l’artiste plasticienne Yvonne Calsou qui a élu domicile à la Maison Sudre durant le mois de juin et bénéficie d’un espace d’échange, de partage, de pratique et d’explorations artistiques avec les résidents. autour de la mémoire et des souvenirs liés à l’ancienne ligne ferroviaire Mazamet-Bédarieux. La première étape de cette résidence s’est déroulée à l’EHPAD Rouanet Iché. Accompagnée de l’équipe Échos ci, Échos là, Yvonne Calsou a présenté son travail aux résidents et fait part de son envie de partage et d’échange autour du chemin de fer. L’œuvre finale sera présentée au festival, du 11 au 13 octobre.

Diplômée d’un master en arts visuels de l’Université Jean Jaurès Toulouse, Yvonne Calsou est basée dans les ateliers du 27 Lieu Commun Artist Run Space. A travers une pratique plurielle, dessin, photographie, vidéo, son, installation, son travail s’inscrit dans les recherches actuelles sur les notions d’espace, de mémoire et de temps. Actuellement, ses recherches prennent un aspect plus intime, explorant son histoire familiale et les territoires de son enfance. « Venir en résidence est toujours une aventure humaine et artistique, explique-t-elle. « Je suis sûr que le temps passé ici sera propice à développer une autre facette de mon travail autour du passé et du moment.

Pour reprendre le thème du festival « One voice, one way », je travaille sur l’ancienne voie ferrée autant en collectant les traces du passé qu’en captant de nouvelles lumières, de nouveaux sons. Pour comprendre de manière sensible comment cette artère a façonné le paysage, je compte en assimiler la géographie sensible en la parcourant à vélo tout en provoquant des rencontres et des échanges avec le plus grand nombre.

 
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