Sur l’échelle des douleurs les plus violentes, celles résultant de la colique néphrétique atteignent sans doute le niveau maximum. Ces crises résultent de ce qu’on appelle des calculs rénaux. C’est-à-dire des calculs qui, en se développant progressivement, bloquent les voies urinaires. ” Ces calculs sont constitués des minéraux éliminés par l’urine. Dans la plupart des cas, il s’agit de cristaux de calcium, qui vont se coller les uns aux autres pour finir par former un calcul. Ils peuvent également résulter d’une concentration excessive d’acide urique. Ils se développent dans le rein et passent dans l’uretère, un type de tube qui relie le rein et la vessie. », indique le Dr Laurence Vrignaud, Néphrologue à Lille. Même si tous ceux qui ont souffert d’une crise s’en souviennent encore, il existe des moyens de la prévenir grâce à un mode de vie adapté.
« Règle numéro un : boire beaucoup d’eau »
” La règle numéro un est de boire beaucoup d’eau. 2 litres par jour est la quantité idéale qui dilue bien les urines et évite la formation de calculs », recommande le professionnel. Si l’eau plate reste la plus recommandée, la consommation de thés, cafés ou tisanes sans sucre permet de préférence également d’avoir une prise d’eau et d’éviter la concentration des urines. Vous pouvez alterner eaux minérales, eaux de Source, et changer de marque régulièrement. On évite bien sûr les eaux minérales gazeuses (…)
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