des solutions existent mais les mauvaises pratiques persistent

Notre enquête sur le Conservatoire de Bruxelles a libéré une voix, symptôme d’un problème plus structurel qui touche l’ensemble de l’enseignement supérieur artistique. Nous avons rencontré des praticiens qui identifient les mécanismes et explorent des pistes pour mieux protéger les étudiants.


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Journaliste au service de la Culture

Par Catherine Makereel

Publié le 12/04/2024 à 06h00
Temps de lecture : 4 min

FEn février, nous publiions une enquête basée sur des dizaines de témoignages d’élèves et d’enseignants dénonçant un climat toxique au sein du Conservatoire de Bruxelles. Agressions sexuelles, abus de pouvoir, harcèlement : la liste des récriminations était longue et glaçante. Depuis, la situation a légèrement changé, rue du Chêne. Suite à la publication de notre article, Wallonie-Bruxelles Enseignement nous a indiqué avoir « mené une enquête globale afin de faire la lumière sur la situation au Conservatoire Royal de Bruxelles ». Au sein des autorités organisatrices, on nous dit encore que « des auditions sont en cours ».



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