Un élu répond à Shaka Ponk qui comparait la tauromachie à une « abomination »

Un élu répond à Shaka Ponk qui comparait la tauromachie à une « abomination »
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« La tauromachie n’est pas une abomination. » Dans une lettre, publiée par France Bleu Gard Lozère, Julien Plantier (LR), le premier adjoint de la ville de Nîmes (Gard), répond à Frah, le leader de Shaka Ponk, qui s’en est directement pris aux défenseurs de la tauromachie, dans un vidéo.

« La ville de Nîmes ne cautionne en aucun cas la torture et défend fermement le respect des animaux », écrit l’élu. En revanche, nous sommes fondamentalement attachés à la liberté (…) La liberté (…) qui permet d’exprimer son opinion sur la tauromachie. Mais la liberté (…) constitue aussi le droit pour nos concitoyens d’assister à la corrida. La liberté n’est pas un principe à géométrie variable. »

« Exprimer plus de respect aux Nîmois »

Julien Plantier assure que « la tauromachie n’est pas une abomination ou une aberration, comme vous le prétendez, qui exposerait la torture (…) C’est une identification à des valeurs comme l’éthique, le courage et le respect qui nous rassemble tous (…) Gageons qu’à l’avenir, vous saurez exprimer davantage de respect aux Nîmois, aux traditions, ainsi qu’à ceux qui vous permettent de vous produire dans un tel cadre. »

Un concert de Shaka Ponk est prévu le 14 juin, aux arènes de Nîmes. Sur les réseaux sociaux, le leader du groupe avait pointé du doigt des « tortionnaires », une « abomination », une « torture » ou encore une « tradition de merde », pointant du doigt la corrida, autorisée à Nîmes.

 
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