Comme chaque année début janvier, la période est aux vœux de bonheur et Camille Lacourt n’a pas lésiné. Il faut dire que 2024 a été une très belle année pour l’ancienne nageuse, consultante luxe pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 sur France Télévisions. Le beau jeune homme de 39 ans était au premier rang pour assister à l’avènement de Léon Marchand et aux superbes prestations de Florent Manaudou. Aux côtés de la sœur de ce dernier, Laure Manaudou, la spécialiste du dos a fait revivre quelques-uns des plus beaux moments de cet événement hors du commun.
Pour cette année 2025, Camille Lacourt a partagé une jolie publication à ses plus de 150 000 abonnés sur Instagram. « Bonne année 2025 ! Je te souhaite ce que tu souhaites. Je continuerai à profiter, aimer et chouchouter ma femme Alice Detollenaere, ma fille Jazzouille (Jazz, 12 ans) et mon amour Mamous (Marius, 3 ans). C’est pareil pour mes amis, mes projets, ma folie sportive. Merci à ceux qui se reconnaissent pour avoir rendu 2024 magnifique”» écrit celui qui a eu du mal à retenir ses larmes en évoquant l’histoire de sa compagne Alice il y a quelques temps. Pour accompagner son message, le natif de Narbonne (Aude) partage un florilège de photos résumant pour lui cette année 2024 chargée.
Camille Lacourt craque pour les beaux yeux verts de Jazz et Marius
Parmi les photos, on voit notamment Jazzla fille qu’il a eu avec l’ancienne Miss France, Valérie Bègue, aux côtés de son petit frère Mariusfruit de ses amours avec Alice Detollenaere. L’occasion de voir ça les deux enfants partagent les mêmes beaux yeux verts ! Une belle coïncidence qui fait évidemment très plaisir à leur père, qui n’a pas hésité à la mettre en avant sur son compte Instagram.
Si elles vivent à Marseille depuis plusieurs années maintenant, Camille Lacourt et Alice Detollenaere sont à Paris depuis quelques jours, comme l’a indiqué la compagne du champion sur ses réseaux sociaux. Contrainte de “retourner au bloc”, l’ancienne Miss en a dit plus sur l’opération qu’elle va subir dans les jours à venir. « Depuis ma dernière opération, j’ai une gêne due à l’implant avec lequel mon sein a été reconstruit. Cela fait 4 ans que j’hésite à y retourner. D’abord parce que je n’en ai pas envie et ensuite parce que cela comporte toujours des risques. »explique-t-elle, avant d’ajouter : « Dans mon cas, ils (les risques) sont ‘seulement’ esthétiques. Si, par exemple, l’opération tourne mal, je risque de me retrouver sans sein. Après avoir pesé le pour et le contre, je préfère essayer d’être optimiste. L’esthétique oui, mais pas au détriment du bien-être.