Formule 1 | Hamilton : « Discussions concrètes » avec KTM pour investir dans le MotoGP

Formule 1 | Hamilton : « Discussions concrètes » avec KTM pour investir dans le MotoGP
Formule 1 | Hamilton : « Discussions concrètes » avec KTM pour investir dans le MotoGP

Lewis Hamilton pourrait bien devenir investisseur dans une écurie MotoGP dans les semaines ou mois à venir. Pit Beirer, directeur de la compétition de KTM, a confirmé des discussions avec le pilote de pour lui permettre de racheter des actions de l’écurie, alors que la marque autrichienne est au bord de la faillite financière.

Red Bull pourrait acquérir l’équipe de course, aidé par un partenaire indien de KTM. Mais l’écurie pourrait donc voir d’autres partenaires entrer dans son capital, notamment Hamilton.

« Je peux seulement dire que nous avons eu des échanges très intéressants avec sa direction » Pit Beirer a déclaré à Speedweek. « Ce n’est un secret pour personne que Lewis Hamilton s’intéresse au MotoGP et qu’il pense à sa propre équipe. Ici aussi, il y a des discussions concrètes.»

Beirer assure que malgré les liens de Hamilton avec Ferrari, le rival de Red Bull en F1, le partenariat entre KTM et la société de boissons ne pose pas de problème pour une éventuelle entrée au capital du septuple champion du monde de Formule 1.

« Tous ceux qui veulent travailler avec nous connaissent cette proximité – Red Bull et KTM sont inséparables. Jusqu’à présent, cela n’a pas posé de problème dans les négociations.»

« Un investisseur est différent d’un sponsor. Nous travaillons également avec nos sponsors dans un partenariat très fort. Lorsque vous avez des partenaires autour de la table qui vous donnent de l’argent pour un projet d’une telle envergure, ils le sous-entendent.

« Cela devrait aussi être positif. Lorsque des partenaires solides s’assoient autour de la table et réfléchissent, de bonnes solutions émergent ensemble. Il est donc évident que ces personnes auront leur mot à dire.»

Si Hamilton et d’autres investissaient dans l’équipe de course, KTM pourrait tout simplement s’en aller : « Compte tenu de la pression que subit actuellement l’entreprise, nous avons dû réfléchir à la manière dont cela serait possible. Il faudrait apporter des changements à l’organisation, il faudrait que le programme du concours devienne indépendant.»

 
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