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Journaliste
Avide de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui titulaire d’un Master en journalisme sportif, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités.
C’était le dernier nom attendu pour compléter la grille 2025. Isack Hadjar a en effet été officialisé comme pilote des Racing Bulls pour la saison prochaine, et les détails de son nouveau contrat ont déjà fuité. Et clairement, le Français pourrait bien faire partie de la structure Red Bull sur le long terme s’il se comporte bien. Explications.
La grille 2025 est enfin complète ! Après plusieurs semaines d’attente, Taureau Rouge a mis fin au suspens en annonçant le départ de Sergio Pérezremplacé par Liam Lawson. Ce dernier libère donc son siège à Taureaux de course qui sera désormais occupé par le Français Isack Hadjar. Et les détails de son premier contrat en F1 fuite.
Extension automatique pour Hadjar, voici les conditions
Ainsi, selon les informations de Sportifle jeune Français percevra un salaire annuel estimé à 800 000 €. Une somme tout à fait classique pour un pilote qui débute dans le giron Taureau Rouge. Plus intéressant, le média explique les conditions d’une prolongation automatique pour 2026. L’écurie autrichienne a toujours tout basé sur la performance et cela continuera d’être le cas pour Isack Hadjar qui conservera automatiquement son baquet pour la saison suivante s’il possède au moins 70% des points de son coéquipier Yuki Tsunoda avant le 14e Grand Prix, prévu en Hongrie.
Hadjar n’y croyait pas !
Il s’agit donc d’une magnifique opportunité pour Isack Hadjar qui avait pourtant attendu le dernier moment pour savourer son arrivée dans F1. « J’ai découvert au Qatar, en fait, que j’allais être en Formule 1. Avant, c’était presque certain mais tant qu’on n’a rien signé, c’est… C’est un milieu tellement vicieux, tellement dur qu’on se dit ça à tout moment… Même, honnêtement, à un moment donné, même au Qatar, après le Qatar, on m’a dit ça, mais tant que je n’ai pas signé, je me suis dit ‘putain, il va se passer quelque chose’. Honnêtement, jusqu’à deux-trois jours [avant la signature]Je n’en étais pas encore sûr. Il fallait vraiment signer les papiers, parce qu’on ne sait jamais avec ces gens [rire]donc voilà », a-t-il confié au micro de Canal+.