Liam Lawson regrette que la Formule 1 soit devenue restrictive en matière de tests pour les pilotes d’essai et de réserve. Le résident du RB F1 sait cependant que c’est pour cela qu’il fait partie d’une génération qui utilise les simulateurs comme principaux outils de préparation.
«Je pense qu’on ne peut pas tester beaucoup. Je sais qu’il y a quelques années, on pouvait tester à peu près quand on le voulait, il y avait des voitures d’essai. » dit Lawson. « Même si ce serait vraiment cool. Ce n’est plus ainsi qu’est le sport aujourd’hui. C’est pourquoi la préparation se fait avec des données et notamment dans un simulateur.
Le Néo-Zélandais explique en quoi le travail sur simulateur est responsable de la professionnalisation des pilotes, mais aussi comment il participe au resserrement de la hiérarchie.
« Chaque équipe dispose de son propre simulateur qu’elle développe et avec lequel elle essaie de travailler. Il s’agit d’être le plus réaliste possible. Nous passons du temps, en tant que pilote de réserve, de F3 et F2, à découvrir le travail de la Formule 1 et à préparer les courses de F1. »
« C’est pourquoi, avec l’accès dont nous disposons actuellement, il devient de plus en plus restreint chaque année. C’est pourquoi il devient plus facile, ou plus accessible, de démarrer. C’est toujours un défi, eh bien, c’est très différent. C’est simplement le travail qui se fait en coulisses, que beaucoup de gens ne voient pas. »
