Début 2025, François Bayrou aborde un sujet sensible : le livret d’épargne. Entre augmentation du Prélèvement Forfaitaire Unique et nouvelles taxes, voici tout ce qu’il faut savoir sur les mesures prévues par le gouvernement.
En 2025, la question des impôts fait son grand retour avec des mesures qui pourraient profondément changer l’économie française. Alors qu’un augmentation des impôts pourrait avoir lieu, leéconomiesla véritable base financière pour beaucoup d’entre nous est clairement dans le collimateur du gouvernement. Alors que les ménages tentent d’anticiper baisse des taux d’intérêtles idées avancées par François Bayrou interrogent.
Et pour cause, les réformes évoquées par le Premier ministre pourraient bien changer les habitudes financières de millions de ménages avec leurs comptes d’épargne. Ces placements, appréciés des Français qui souhaitent placer leur argent de manière sécurisée et rentable, ne sont peut-être plus la solution d’épargne idéale qu’ils sont aujourd’hui.
Un coup dur pour les épargnants ?
Parmi les principales annonces, la modification de la Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU)un impôt créé suite à la loi de finances pour 2018, fait l’objet de beaucoup d’attention selon Nuit France. Actuellement fixé à 30 %, ce prélèvement combine 12,8 % d’impôt sur le revenu et 17,2 % de cotisations sociales. Avec le projet de l’augmenter à 33%, l’impact sur les produits d’épargne tels que assurance viele Compte Epargne Logement (CEL) et le Plan d’épargne logement (PEL) serait considérable. Pour beaucoup, cette augmentation représente une ponction supplémentaire sur des investissements déjà affaiblis.
Selon François Bayrou, cette mesure vise à « renforcer la solidarité budgétaire » et à financer les priorités du pays. Mais les critiques ne manquent pas. Les épargnants craignent notamment de perdre encore davantage de leurs rendements dans un contexte de baisse des taux d’intérêt.
Ces autres mesures qui pourraient impacter la fiscalité française
Une autre mesure clé selon L’internaute : une nouvelle augmentation de la taxe sur les billets d’avion. Bien que le montant exact ne soit pas encore confirmé, cette mesure vise à encourager des alternatives plus vertes. Les Français devront prévoir un surcoût, notamment pour les vols courts.
François Bayrou s’en prend également aux contribuables les plus riches. Les revenus annuels individuels supérieurs à 250 000 euros, ou 500 000 euros pour un couple, pourraient être soumis à un impôt minimum de 20 %. Une idée qui vise à lutter contre l’évasion fiscale tout en équilibrant les comptes publics. « Les revenus très élevés doivent contribuer à hauteur de leur capacité économique », a déclaré le Premier ministre.
-Les grandes entreprises également dans le collimateur du gouvernement
Le projet ne s’arrête pas aux individus. Selon Vonews, les grandes entreprises, réalisant un chiffre d’affaires supérieur à un milliard d’euros, pourraient également être soumises à une surtaxe. Cette initiative vise à compenser les déficits budgétaires tout en redistribuant les contributions fiscales de manière « plus équitable ». Cette mesure inquiète toutefois certains acteurs économiques, craignant qu’elle nuise à la compétitivité.
Les discussions autour de ces propositions se poursuivent et aucune décision finale n’a encore été prise. Si ces mesures sont adoptées, elles pourraient redéfinir les stratégies d’épargne et d’investissement des Français, tout en impactant leur pouvoir d’achat. Nous vous conseillons donc de suivre attentivement les débats parlementaires prévus dans les prochains mois.
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Droits des femmes et des enfants, violence, féminisme, genre, discrimination, parentalité, éducation, argent, travail, psychologie, santé, couple, sexualité, réseaux sociaux…. Joséphine aime décrypter tous les enjeux de société qui animent…
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