le président et les membres de l’exécutif se présentent au conseil

le président et les membres de l’exécutif se présentent au conseil
le président et les membres de l’exécutif se présentent au conseil

Dans un geste sans précédent, la présidente de la Fraternité des policiers de Québec s’est présentée mardi au conseil municipal pour exiger une rencontre avec le maire pour sortir de l’impasse dans la saga judiciaire qui se poursuit avec la Municipalité, une demande qui a été refusée. à lui.

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Martine Fortier était accompagnée de plusieurs membres de l’exécutif de la Fraternité, qui se sont présentés après elle au micro. Dans son préambule, la présidente du syndicat a déclaré : « Je reçois maintenant mon troisième avis d’enquête disciplinaire, ce qu’aucun de mes prédécesseurs masculins n’a connu en tant que président de la Fraternité. »

Représailles

Elle a rappelé qu’un arbitre de grief avait récemment tranché en sa faveur et statué qu’elle avait bel et bien été victime de mesures de représailles en raison d’activités syndicales.

« Considérant cela, accepterez-vous de m’accorder la rencontre que je réclame depuis plus de deux ans, avant que la situation ne dégénère davantage et avant que l’image de Québec ne soit irrémédiablement ternie ? elle a demandé.

“Pas personnel”

Le maire a décliné l’offre. « Par rapport à toutes les questions de ressources humaines, lorsqu’il y a un litige, ce n’est pas possible et je ne suis pas favorable à une réunion. […] Il n’y aura pas de réunion et elle n’est pas personnelle au président de la Fraternité”, a-t-il affirmé, assurant qu’il en serait de même pour tout salarié “pour des raisons de processus en cours”.

Les autres membres de l’exécutif de la Fraternité n’ont pas eu plus de succès auprès des élus de l’administration Marchand. La vice-présidente du comité exécutif responsable des ressources humaines, Marie-Josée Asselin, a indiqué que la gestion du service de police ne relève pas directement des élus et que ceux-ci doivent préserver l’indépendance entre le niveau politique et l’administration du SPVQ.

“Au sein de la police, nous n’avons aucun rapport faisant état d’un abus de confiance de la part des citoyens”, a-t-elle soutenu.

 
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