Giorgio Pradelli élu président de l’ABG

Giorgio Pradelli élu président de l’ABG
Giorgio Pradelli élu président de l’ABG

Le CEO d’EFG sera accompagné de Georg Schubiger, co-CEO de Vontobel Holding, que l’Assemblée générale de l’Association des banques de gestion suisses a choisi comme vice-président.

Lors de son assemblée générale d’aujourd’hui, l’Association des banques de gestion suisses, l’ABG, a élu son nouveau président, Giorgio Pradelli, CEO d’EFG International, et son vice-président, Georg Schubiger, co-CEO de Vontobel Holding. Ils succèdent à Philipp Rickenbacher et Zeno Staub. Le Comité est également renforcé par deux nouveaux membres, à savoir Romeo Lacher, Président du Conseil d’Administration du Groupe Julius Baer, ​​et Eric Syz, CEO du Groupe Syz.

Les nouveaux élus Giorgio Pradelli et Georg Schubiger possèdent tous deux une vaste expérience internationale dans des postes de direction dans des banques privées et siègent déjà au comité de l’association. Rompus aux enjeux et opportunités du secteur de la gestion de fortune, très tourné vers l’international, ils réunissent les qualités pour représenter avec succès les intérêts du secteur, tant au sein des instances dirigeantes du secteur financier qu’auprès des autorités du monde entier. la politique et le grand public.

Le nouveau président de l’ABG Giorgio Pradelli est convaincu que les banques de gestion suisses sont en bonne position pour affirmer leur position de leader international. «Pour que nous puissions continuer à développer nos activités tant en Suisse qu’à l’international, le partage d’expériences au sein de la branche et des conditions-cadres compétitives sont essentiels. J’ai hâte de travailler dans cette direction au sein de l’ABG», a souligné Giorgio Pradelli après son élection.

L’ABG remercie Philipp Rickenbacher et Zeno Staub pour leur contribution active et fructueuse au cours des trois dernières années. Sous leur direction clairvoyante, dans une période perturbée par des défis tels que la pandémie de coronavirus, les sanctions contre la Russie ou les conséquences de la fin du Crédit Suisse, il a néanmoins été possible de faire entendre avec succès la voix du secteur de la gestion de fortune et de faire progresser son causes.

 
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